Equipe de France : Lloris et la frappe d'Eder, les joies d'un match à 21 heures... Le journal des Bleus
FOOTBALL•Tout ce qu’il faut savoir sur l’actualité de l’équipe de France avec le café et le croissantWilliam Pereira
De notre envoyé spécial à Budapest,
On va en entendre parler encore longtemps, de cette frappe d'Eder ? C’est le projet à chaque France-Portugal, c’est ça ? Non parce que ça commence à bien faire. C’est sûrement ce qu’aurait dit Hugo Lloris en conférence de presse d’avant-match si les Bleus n’avaient pas depuis ajouté une deuxième étoile au-dessus du coq. Au lieu de ça, le capitaine de l’équipe de France prend son échec de 2016 avec beaucoup de calme et de philosophie.
« Ce n’est pas un mauvais souvenir, car ça reste une finale d’Euro avec tout ce que ça engage. Douloureux, oui parce qu’il y a ce scénario difficile pour les Français par rapport à la physionomie du match. Mais derrière, on a su construire le succès en Russie, et certainement que les deux choses sont liées. »
Opération récupération
Vous voulez savoir ce qui est lié, aussi ? L’état des guiboles des hommes de Didier Deschamps et la performance des Bleus, ce mercredi soir à Budapest. Pas pour rien que le staff est rudement mis à contribution depuis le nul contre la Hongrie, et encore plus dans la dernière ligne droite avant de jouer le Portugal. « On fait le maximum avec le staff médical. Pour ceux qui ont joué, ça passe par la récupération la plus totale possible. A travers le sommeil, l’alimentation, etc. Et pour ceux qui n’ont peu ou pas joué il s’agit de compenser par de l’intensité à l’entraînement même si ça ne remplace jamais les efforts d’un match. »
A part ça, DD a refusé de s’étendre sur des considérations tactiques de peur que Fernando Santos n’écoute aux portes, de même qu’il n’a donné aucun indice pour la compo de samedi soir. Mais on parie qu’elle ressemblera à ça : Lloris – Koundé, Varane, Kimpembe, Hernandez – Kanté, Pogba, Tolisso – Griezmann, Benzema et Mbappé.
Le programme du jour
La journée ne commence qu’à 21 heures. Avant ça, rien n’existera.