MUSIQUEÀ 4,99 euros par mois, Apple Music Voice peut-il remplacer Apple Music ?

Apple Music Voice : Que vaut le service musical d’Apple à 4,99 euros par mois ?

MUSIQUETesté par « 20 Minutes », le nouveau service de streaming musical Apple Music Voice, lancé à 4,99 euros par mois, possède de nombreux avantages, mais aussi des contraintes
Apple Music Voice: Que vaut le service de streaming musical lancé à 4,99 euros par mois?
Christophe Séfrin

Christophe Séfrin

L'essentiel

  • Annoncé par Tim Cook, le patron d’Apple, lors de sa keynote du 14 septembre 2021, le nouveau service d’écoute de musique en streaming Apple Music Voice débarque en France.
  • Face à Apple Music, facturé 9,99 euros par mois, Apple Music Voice est proposé à 4,99 euros par mois.
  • Revers de la médaille, le service qui se pilote uniquement à la voix, ne permet pas d’écouter de la musique non compressée ou spatialisée, mais surtout, de se constituer ses propres playlists.

Voilà un bon gros pavé dans la mare de Deezer, Spotify, Tidal ou Qobuz. Avec Apple Music Voice, lancé en France et dans 17 pays cette semaine, Apple propose un nouveau service de streaming musical légal et sans pub.

Son prix : 4,99 euros par mois. Derrière ce tarif alléchant, un service d’écoute complet, certes, mais qui n’offre pas les mêmes prestations qu’Apple Music (9,99 euros/mois), le service historique de la firme à la pomme, comme 20 Minutes a pu le constater.

L’assistant Siri à la manœuvre

C’est l’assistant d’Apple qui est aux platines. « Dis Siri, lance une playlist pour cuisiner ». « Dis Siri, joue Le dernier jour du disco de Juliette Armanet ». « Dis Siri, joue Virgin Radio »… Avec le nouveau service de streaming Apple Music Voice, inutile d’essayer d’utiliser son index sur l’écran de son iPhone (ou iPad) pour lancer la lecture d’un morceau. Il faut donner de la voix.

Tel est le concept de cette déclinaison low cost d’Apple Music, qui, avec son abonnement à 4,99 euros par mois, permet quand même de réaliser une économie de 60 euros par an par rapport au service musical historique d’Apple. Pour autant, Apple Music Voice joue-t-il une version dégradée de son aîné ? Oui et non.

Des playlists pour entrer dans le mood

Pour peu qu’il possède un iPhone (clé d’entrée pour accéder à une bibliothèque de 75 millions de titres), l’utilisateur peut trouver tout ce qu’il désire. Il suffit de le demander. Outre un iPhone (ou un iPad), l’opération peut s’effectuer directement à la voix depuis des enceintes HomePod ou HomePod mini, mais aussi depuis le boîtier AppleTV (avec sa télécommande qui possède un micro).

Sans dire combien, Apple affirme avoir créé de nouvelles playlists pour son service. Autant de « moods », comme « Bonne humeur », « Réviser en rythme », « Moment calme », ou « L’évolution black music ». L’occasion d’ambiancer un moment bien particulier. Et de découvrir des titres. Les morceaux s’enchaînent, mais si l’on veut en changer, il faut le demander à Siri («Dis Siri, passe au morceau suivant »), où appuyer sur la touche Skip sur l’écran de son terminal mobile. Si l’on consulte le détail de la playlist choisie sur l’écran de son iPhone, l’activation d’un titre de la pointe de l’index n’en lance que la lecture d’un extrait. Un peu déstabilisant…

Migrer vers Apple Music

C’est d’ailleurs là une constante : si avec Apple Music Voice on peut faire des recherches sur son iPhone, comme dans la discographie d’un artiste, il est impossible de lancer la lecture d’un album ou celle d’un morceau en particulier avec le doigt.

La manœuvre appelle systématiquement l’affichage d’un écran : « Utilisez Siri pour écouter de la musique grâce à votre abonnement ». Ecran en bas duquel la mention « Mettre à niveau vers Apple Music » n’a pas été oubliée…

Impossible de constituer ses propres playlists

Véritable écueil : il est impossible de se constituer une playlist avec Apple Music Voice. Ce n’est évidemment pas une lacune, mais un privilège réservé aux utilisateurs d’Apple Music, deux fois plus cher. Mais c’est frustrant. De même, Apple Music Voice ne permet pas la lecture de titres « lossless » (non compressés) ou en Audio spatial, deux services que rend, par contre, Apple Music. A la limite, on peut s’en passer.

Par contre, et comme nous l’avons constaté, le service fonctionne avec des enceintes compatibles AirPlay 2. Nous n’avons eu aucune difficulté à lancer des écoutes sur nos enceintes Sonos, par exemple. Les systèmes CarPlay sont également compatibles. Et d’autres écouteurs ou casques audio que ceux de la firme à la pomme fonctionnent avec Apple Music Voice parfaitement.

Un cheval de Troie pour attirer les jeunes

Si, sur l’autel de l’économie de quelques dizaines d’euros par an, on peut se satisfaire d’Apple Music Voice, force est de constater que sa pratique peut devenir contraignante. Après plusieurs jours d’essai, prononcer « Siri » à qui mieux mieux finit par devenir lassant. Et de leur côté, les consommateurs de musique pointilleux sur leurs requêtes risquent de ne pas adhérer au fait qu’un assistant vocal puisse en partie se substituer à leurs recherches.

Reste pour le public une offre économique, sans publicité, avec un catalogue pléthorique. Et pour Apple, un beau cheval de Troie pour toucher les plus jeunes utilisateurs d’iPhone, et peut-être les guider pas à pas vers Apple Music, mais aussi dans l’écosystème des produits de la firme de Cupertino.

Siri

C’est l’assistant d’Apple qui est aux platines. « Dis Siri, lance une playlist pour cuisiner ». « Dis Siri, joue Le dernier jour du disco de Juliette Armanet ». « Dis Siri, joue Virgin Radio »… Avec le nouveau service de streaming Apple Music Voice, inutile d’essayer d’utiliser son index sur l’écran de son iPhone (ou iPad) pour lancer la lecture d’un morceau. Il faut donner de la voix.

Tel est le concept de cette déclinaison low cost d’Apple Music, qui, avec son abonnement à 4,99 euros par mois, permet quand même de réaliser une économie de 60 euros par an par rapport au service musical historique d’Apple. Pour autant, Apple Music Voice joue-t-il une version dégradée de son aîné ? Oui et non.

Des playlists pour entrer dans le mood

Pour peu qu’il possède un iPhone (clé d’entrée pour accéder à une bibliothèque de 75 millions de titres), l’utilisateur peut trouver tout ce qu’il désire. Il suffit de le demander. Outre un iPhone (ou un iPad), l’opération peut s’effectuer directement à la voix depuis des enceintes HomePod ou HomePod mini, mais aussi depuis le boîtier AppleTV (avec sa télécommande qui possède un micro).

Sans dire combien, Apple affirme avoir créé de nouvelles playlists pour son service. Autant de « moods », comme « Bonne humeur », « Réviser en rythme », « Moment calme », ou « L’évolution black music ». L’occasion d’ambiancer un moment bien particulier. Et de découvrir des titres. Les morceaux s’enchaînent, mais si l’on veut en changer, il faut le demander à Siri («Dis Siri, passe au morceau suivant »), où appuyer sur la touche Skip sur l’écran de son terminal mobile. Si l’on consulte le détail de la playlist choisie sur l’écran de son iPhone, l’activation d’un titre de la pointe de l’index n’en lance que la lecture d’un extrait. Un peu déstabilisant…

Migrer vers Apple Music

C’est d’ailleurs là une constante : si avec Apple Music Voice on peut faire des recherches sur son iPhone, comme dans la discographie d’un artiste, il est impossible de lancer la lecture d’un album ou celle d’un morceau en particulier avec le doigt.

La manœuvre appelle systématiquement l’affichage d’un écran : « Utilisez Siri pour écouter de la musique grâce à votre abonnement ». Ecran en bas duquel la mention « Mettre à niveau vers Apple Music » n’a pas été oubliée…

Impossible de constituer ses propres playlists

Véritable écueil : il est impossible de se constituer une playlist avec Apple Music Voice. Ce n’est évidemment pas une lacune, mais un privilège réservé aux utilisateurs d’Apple Music, deux fois plus cher. Mais c’est frustrant. De même, Apple Music Voice ne permet pas la lecture de titres « lossless » (non compressés) ou en Audio spatial, deux services que rend, par contre, Apple Music. A la limite, on peut s’en passer.

Par contre, et comme nous l’avons constaté, le service fonctionne avec des enceintes compatibles AirPlay 2. Nous n’avons eu aucune difficulté à lancer des écoutes sur nos enceintes Sonos, par exemple. Les systèmes CarPlay sont également compatibles. Et d’autres écouteurs ou casques audio que ceux de la firme à la pomme fonctionnent avec Apple Music Voice parfaitement.

Un cheval de Troie pour attirer les jeunes

Si, sur l’autel de l’économie de quelques dizaines d’euros par an, on peut se satisfaire d’Apple Music Voice, force est de constater que sa pratique peut devenir contraignante. Après plusieurs jours d’essai, prononcer « Siri » à qui mieux mieux finit par devenir lassant. Et de leur côté, les consommateurs de musique pointilleux sur leurs requêtes risquent de ne pas adhérer au fait qu’un assistant vocal puisse en partie se substituer à leurs recherches.

Reste pour le public une offre économique, sans publicité, avec un catalogue pléthorique. Et pour Apple, un beau cheval de Troie pour toucher les plus jeunes utilisateurs d’iPhone, et peut-être les guider pas à pas vers Apple Music, mais aussi dans l’écosystème des produits de la firme de Cupertino.

Juliette Armanet

C’est l’assistant d’Apple qui est aux platines. « Dis ef="https://www.20minutes.fr/high-tech/2988303-20210301-apple-veut-ameliorer-siri-comprendre-utilisateurs-troubles-elocution" data-blank="false" data-follow="true" data-sponsored="false">Siri, lance une playlist pour cuisiner ». « Dis Siri, joue Le dernier jour du disco de Juliette Armanet ». « Dis Siri, joue Virgin Radio »… Avec le nouveau service de streaming Apple Music Voice, inutile d’essayer d’utiliser son index sur l’écran de son iPhone (ou iPad) pour lancer la lecture d’un morceau. Il faut donner de la voix.

Tel est le concept de cette déclinaison low cost d’Apple Music, qui, avec son abonnement à 4,99 euros par mois, permet quand même de réaliser une économie de 60 euros par an par rapport au service musical historique d’Apple. Pour autant, Apple Music Voice joue-t-il une version dégradée de son aîné ? Oui et non.

Des playlists pour entrer dans le mood

Pour peu qu’il possède un iPhone (clé d’entrée pour accéder à une bibliothèque de 75 millions de titres), l’utilisateur peut trouver tout ce qu’il désire. Il suffit de le demander. Outre un iPhone (ou un iPad), l’opération peut s’effectuer directement à la voix depuis des enceintes HomePod ou HomePod mini, mais aussi depuis le boîtier AppleTV (avec sa télécommande qui possède un micro).

Sans dire combien, Apple affirme avoir créé de nouvelles playlists pour son service. Autant de « moods », comme « Bonne humeur », « Réviser en rythme », « Moment calme », ou « L’évolution black music ». L’occasion d’ambiancer un moment bien particulier. Et de découvrir des titres. Les morceaux s’enchaînent, mais si l’on veut en changer, il faut le demander à Siri («Dis Siri, passe au morceau suivant »), où appuyer sur la touche Skip sur l’écran de son terminal mobile. Si l’on consulte le détail de la playlist choisie sur l’écran de son iPhone, l’activation d’un titre de la pointe de l’index n’en lance que la lecture d’un extrait. Un peu déstabilisant…

Migrer vers Apple Music

C’est d’ailleurs là une constante : si avec Apple Music Voice on peut faire des recherches sur son iPhone, comme dans la discographie d’un artiste, il est impossible de lancer la lecture d’un album ou celle d’un morceau en particulier avec le doigt.

La manœuvre appelle systématiquement l’affichage d’un écran : « Utilisez Siri pour écouter de la musique grâce à votre abonnement ». Ecran en bas duquel la mention « Mettre à niveau vers Apple Music » n’a pas été oubliée…

Impossible de constituer ses propres playlists

Véritable écueil : il est impossible de se constituer une playlist avec Apple Music Voice. Ce n’est évidemment pas une lacune, mais un privilège réservé aux utilisateurs d’Apple Music, deux fois plus cher. Mais c’est frustrant. De même, Apple Music Voice ne permet pas la lecture de titres « lossless » (non compressés) ou en Audio spatial, deux services que rend, par contre, Apple Music. A la limite, on peut s’en passer.

Par contre, et comme nous l’avons constaté, le service fonctionne avec des enceintes compatibles AirPlay 2. Nous n’avons eu aucune difficulté à lancer des écoutes sur nos enceintes Sonos, par exemple. Les systèmes CarPlay sont également compatibles. Et d’autres écouteurs ou casques audio que ceux de la firme à la pomme fonctionnent avec Apple Music Voice parfaitement.

Un cheval de Troie pour attirer les jeunes

Si, sur l’autel de l’économie de quelques dizaines d’euros par an, on peut se satisfaire d’Apple Music Voice, force est de constater que sa pratique peut devenir contraignante. Après plusieurs jours d’essai, prononcer « Siri » à qui mieux mieux finit par devenir lassant. Et de leur côté, les consommateurs de musique pointilleux sur leurs requêtes risquent de ne pas adhérer au fait qu’un assistant vocal puisse en partie se substituer à leurs recherches.

Reste pour le public une offre économique, sans publicité, avec un catalogue pléthorique. Et pour Apple, un beau cheval de Troie pour toucher les plus jeunes utilisateurs d’iPhone, et peut-être les guider pas à pas vers Apple Music, mais aussi dans l’écosystème des produits de la firme de Cupertino.


C’est l’assistant d’Apple qui est aux platines. « Dis Siri, lance une playlist pour cuisiner ». « Dis Siri, joue Le dernier jour du disco de Juliette Armanet ». « Dis Siri, joue Virgin Radio »… Avec le nouveau service de streaming Apple Music Voice, inutile d’essayer d’utiliser son index sur l’écran de son iPhone (ou iPad) pour lancer la lecture d’un morceau. Il faut donner de la voix.

Tel est le concept de cette déclinaison low cost d’Apple Music, qui, avec son abonnement à 4,99 euros par mois, permet quand même de réaliser une économie de 60 euros par an par rapport au service musical historique d’Apple. Pour autant, Apple Music Voice joue-t-il une version dégradée de son aîné ? Oui et non.

Des playlists pour entrer dans le mood

Pour peu qu’il possède un iPhone (clé d’entrée pour accéder à une bibliothèque de 75 millions de titres), l’utilisateur peut trouver tout ce qu’il désire. Il suffit de le demander. Outre un iPhone (ou un iPad), l’opération peut s’effectuer directement à la voix depuis des enceintes HomePod ou HomePod mini, mais aussi depuis le boîtier AppleTV (avec sa télécommande qui possède un micro).

Sans dire combien, Apple affirme avoir créé de nouvelles playlists pour son service. Autant de « moods », comme « Bonne humeur », « Réviser en rythme », « Moment calme », ou « L’évolution black music ». L’occasion d’ambiancer un moment bien particulier. Et de découvrir des titres. Les morceaux s’enchaînent, mais si l’on veut en changer, il faut le demander à Siri («Dis Siri, passe au morceau suivant »), où appuyer sur la touche Skip sur l’écran de son terminal mobile. Si l’on consulte le détail de la playlist choisie sur l’écran de son iPhone, l’activation d’un titre de la pointe de l’index n’en lance que la lecture d’un extrait. Un peu déstabilisant…

Migrer vers Apple Music

C’est d’ailleurs là une constante : si avec Apple Music Voice on peut faire des recherches sur son iPhone, comme dans la discographie d’un artiste, il est impossible de lancer la lecture d’un album ou celle d’un morceau en particulier avec le doigt.

La manœuvre appelle systématiquement l’affichage d’un écran : « Utilisez Siri pour écouter de la musique grâce à votre abonnement ». Ecran en bas duquel la mention « Mettre à niveau vers Apple Music » n’a pas été oubliée…

Impossible de constituer ses propres playlists

Véritable écueil : il est impossible de se constituer une playlist avec Apple Music Voice. Ce n’est évidemment pas une lacune, mais un privilège réservé aux utilisateurs d’Apple Music, deux fois plus cher. Mais c’est frustrant. De même, Apple Music Voice ne permet pas la lecture de titres « lossless » (non compressés) ou en Audio spatial, deux services que rend, par contre, Apple Music. A la limite, on peut s’en passer.

Par contre, et comme nous l’avons constaté, le service fonctionne avec des enceintes compatibles AirPlay 2. Nous n’avons eu aucune difficulté à lancer des écoutes sur nos enceintes Sonos, par exemple. Les systèmes CarPlay sont également compatibles. Et d’autres écouteurs ou casques audio que ceux de la firme à la pomme fonctionnent avec Apple Music Voice parfaitement.

Un cheval de Troie pour attirer les jeunes

Si, sur l’autel de l’économie de quelques dizaines d’euros par an, on peut se satisfaire d’Apple Music Voice, force est de constater que sa pratique peut devenir contraignante. Après plusieurs jours d’essai, prononcer « Siri » à qui mieux mieux finit par devenir lassant. Et de leur côté, les consommateurs de musique pointilleux sur leurs requêtes risquent de ne pas adhérer au fait qu’un assistant vocal puisse en partie se substituer à leurs recherches.

Reste pour le public une offre économique, sans publicité, avec un catalogue pléthorique. Et pour Apple, un beau cheval de Troie pour toucher les plus jeunes utilisateurs d’iPhone, et peut-être les guider pas à pas vers Apple Music, mais aussi dans l’écosystème des produits de la firme de Cupertino.


C’est l’assistant d’Apple qui est aux platines. « Dis Siri, lance une playlist pour cuisiner ». « Dis Siri, joue Le dernier jour du disco de Juliette Armanet ». « Dis Siri, joue Virgin Radio »… Avec le nouveau service de streaming Apple Music Voice, inutile d’essayer d’utiliser son index sur l’écran de son iPhone (ou iPad) pour lancer la lecture d’un morceau. Il faut donner de la voix.

Tel est le concept de cette déclinaison low cost d’Apple Music, qui, avec son abonnement à 4,99 euros par mois, permet quand même de réaliser une économie de 60 euros par an par rapport au service musical historique d’Apple. Pour autant, Apple Music Voice joue-t-il une version dégradée de son aîné ? Oui et non.

Des playlists pour entrer dans le mood

Pour peu qu’il possède un iPhone (clé d’entrée pour accéder à une bibliothèque de 75 millions de titres), l’utilisateur peut trouver tout ce qu’il désire. Il suffit de le demander. Outre un iPhone (ou un iPad), l’opération peut s’effectuer directement à la voix depuis des enceintes HomePod ou HomePod mini, mais aussi depuis le boîtier AppleTV (avec sa télécommande qui possède un micro).

Sans dire combien, Apple affirme avoir créé de nouvelles playlists pour son service. Autant de « moods », comme « Bonne humeur », « Réviser en rythme », « Moment calme », ou « L’évolution black music ». L’occasion d’ambiancer un moment bien particulier. Et de découvrir des titres. Les morceaux s’enchaînent, mais si l’on veut en changer, il faut le demander à Siri («Dis Siri, passe au morceau suivant »), où appuyer sur la touche Skip sur l’écran de son terminal mobile. Si l’on consulte le détail de la playlist choisie sur l’écran de son iPhone, l’activation d’un titre de la pointe de l’index n’en lance que la lecture d’un extrait. Un peu déstabilisant…

Migrer vers Apple Music

C’est d’ailleurs là une constante : si avec Apple Music Voice on peut faire des recherches sur son iPhone, comme dans la discographie d’un artiste, il est impossible de lancer la lecture d’un album ou celle d’un morceau en particulier avec le doigt.

La manœuvre appelle systématiquement l’affichage d’un écran : « Utilisez Siri pour écouter de la musique grâce à votre abonnement ». Ecran en bas duquel la mention « Mettre à niveau vers Apple Music » n’a pas été oubliée…

Impossible de constituer ses propres playlists

Véritable écueil : il est impossible de se constituer une playlist avec Apple Music Voice. Ce n’est évidemment pas une lacune, mais un privilège réservé aux utilisateurs d’Apple Music, deux fois plus cher. Mais c’est frustrant. De même, Apple Music Voice ne permet pas la lecture de titres « lossless » (non compressés) ou en Audio spatial, deux services que rend, par contre, Apple Music. A la limite, on peut s’en passer.

Par contre, et comme nous l’avons constaté, le service fonctionne avec des enceintes compatibles AirPlay 2. Nous n’avons eu aucune difficulté à lancer des écoutes sur nos enceintes Sonos, par exemple. Les systèmes CarPlay sont également compatibles. Et d’autres écouteurs ou casques audio que ceux de la firme à la pomme fonctionnent avec Apple Music Voice parfaitement.

Un cheval de Troie pour attirer les jeunes

Si, sur l’autel de l’économie de quelques dizaines d’euros par an, on peut se satisfaire d’Apple Music Voice, force est de constater que sa pratique peut devenir contraignante. Après plusieurs jours d’essai, prononcer « Siri » à qui mieux mieux finit par devenir lassant. Et de leur côté, les consommateurs de musique pointilleux sur leurs requêtes risquent de ne pas adhérer au fait qu’un assistant vocal puisse en partie se substituer à leurs recherches.

Reste pour le public une offre économique, sans publicité, avec un catalogue pléthorique. Et pour Apple, un beau cheval de Troie pour toucher les plus jeunes utilisateurs d’iPhone, et peut-être les guider pas à pas vers Apple Music, mais aussi dans l’écosystème des produits de la firme de Cupertino.


C’est l’assistant d’Apple qui est aux platines. « Dis Siri, lance une playlist pour cuisiner ». « Dis Siri, joue Le dernier jour du disco de Juliette Armanet ». « Dis Siri, joue Virgin Radio »… Avec le nouveau service de streaming Apple Music Voice, inutile d’essayer d’utiliser son index sur l’écran de son iPhone (ou iPad) pour lancer la lecture d’un morceau. Il faut donner de la voix.

Tel est le concept de cette déclinaison low cost d’Apple Music, qui, avec son abonnement à 4,99 euros par mois, permet quand même de réaliser une économie de 60 euros par an par rapport au service musical historique d’Apple. Pour autant, Apple Music Voice joue-t-il une version dégradée de son aîné ? Oui et non.

Des playlists pour entrer dans le mood

Pour peu qu’il possède un iPhone (clé d’entrée pour accéder à une bibliothèque de 75 millions de titres), l’utilisateur peut trouver tout ce qu’il désire. Il suffit de le demander. Outre un iPhone (ou un iPad), l’opération peut s’effectuer directement à la voix depuis des enceintes HomePod ou HomePod mini, mais aussi depuis le boîtier AppleTV (avec sa télécommande qui possède un micro).

Sans dire combien, Apple affirme avoir créé de nouvelles playlists pour son service. Autant de « moods », comme « Bonne humeur », « Réviser en rythme », « Moment calme », ou « L’évolution black music ». L’occasion d’ambiancer un moment bien particulier. Et de découvrir des titres. Les morceaux s’enchaînent, mais si l’on veut en changer, il faut le demander à Siri («Dis Siri, passe au morceau suivant »), où appuyer sur la touche Skip sur l’écran de son terminal mobile. Si l’on consulte le détail de la playlist choisie sur l’écran de son iPhone, l’activation d’un titre de la pointe de l’index n’en lance que la lecture d’un extrait. Un peu déstabilisant…

Migrer vers Apple Music

C’est d’ailleurs là une constante : si avec Apple Music Voice on peut faire des recherches sur son iPhone, comme dans la discographie d’un artiste, il est impossible de lancer la lecture d’un album ou celle d’un morceau en particulier avec le doigt.

La manœuvre appelle systématiquement l’affichage d’un écran : « Utilisez Siri pour écouter de la musique grâce à votre abonnement ». Ecran en bas duquel la mention « Mettre à niveau vers Apple Music » n’a pas été oubliée…

Impossible de constituer ses propres playlists

Véritable écueil : il est impossible de se constituer une playlist avec Apple Music Voice. Ce n’est évidemment pas une lacune, mais un privilège réservé aux utilisateurs d’Apple Music, deux fois plus cher. Mais c’est frustrant. De même, Apple Music Voice ne permet pas la lecture de titres « lossless » (non compressés) ou en Audio spatial, deux services que rend, par contre, Apple Music. A la limite, on peut s’en passer.

Par contre, et comme nous l’avons constaté, le service fonctionne avec des enceintes compatibles AirPlay 2. Nous n’avons eu aucune difficulté à lancer des écoutes sur nos enceintes Sonos, par exemple. Les systèmes CarPlay sont également compatibles. Et d’autres écouteurs ou casques audio que ceux de la firme à la pomme fonctionnent avec Apple Music Voice parfaitement.

Un cheval de Troie pour attirer les jeunes

Si, sur l’autel de l’économie de quelques dizaines d’euros par an, on peut se satisfaire d’Apple Music Voice, force est de constater que sa pratique peut devenir contraignante. Après plusieurs jours d’essai, prononcer « Siri » à qui mieux mieux finit par devenir lassant. Et de leur côté, les consommateurs de musique pointilleux sur leurs requêtes risquent de ne pas adhérer au fait qu’un assistant vocal puisse en partie se substituer à leurs recherches.

Reste pour le public une offre économique, sans publicité, avec un catalogue pléthorique. Et pour Apple, un beau cheval de Troie pour toucher les plus jeunes utilisateurs d’iPhone, et peut-être les guider pas à pas vers Apple Music, mais aussi dans l’écosystème des produits de la firme de Cupertino.


C’est l’assistant d’Apple qui est aux platines. « Dis Siri, lance une playlist pour cuisiner ». « Dis Siri, joue Le dernier jour du disco de Juliette Armanet ». « Dis Siri, joue Virgin Radio »… Avec le nouveau service de streaming Apple Music Voice, inutile d’essayer d’utiliser son index sur l’écran de son iPhone (ou iPad) pour lancer la lecture d’un morceau. Il faut donner de la voix.

Tel est le concept de cette déclinaison low cost d’Apple Music, qui, avec son abonnement à 4,99 euros par mois, permet quand même de réaliser une économie de 60 euros par an par rapport au service musical historique d’Apple. Pour autant, Apple Music Voice joue-t-il une version dégradée de son aîné ? Oui et non.

Des playlists pour entrer dans le mood

Pour peu qu’il possède un iPhone (clé d’entrée pour accéder à une bibliothèque de 75 millions de titres), l’utilisateur peut trouver tout ce qu’il désire. Il suffit de le demander. Outre un iPhone (ou un iPad), l’opération peut s’effectuer directement à la voix depuis des enceintes HomePod ou HomePod mini, mais aussi depuis le boîtier AppleTV (avec sa télécommande qui possède un micro).

Sans dire combien, Apple affirme avoir créé de nouvelles playlists pour son service. Autant de « moods », comme « Bonne humeur », « Réviser en rythme », « Moment calme », ou « L’évolution black music ». L’occasion d’ambiancer un moment bien particulier. Et de découvrir des titres. Les morceaux s’enchaînent, mais si l’on veut en changer, il faut le demander à Siri («Dis Siri, passe au morceau suivant »), où appuyer sur la touche Skip sur l’écran de son terminal mobile. Si l’on consulte le détail de la playlist choisie sur l’écran de son iPhone, l’activation d’un titre de la pointe de l’index n’en lance que la lecture d’un extrait. Un peu déstabilisant…

Migrer vers Apple Music

C’est d’ailleurs là une constante : si avec Apple Music Voice on peut faire des recherches sur son iPhone, comme dans la discographie d’un artiste, il est impossible de lancer la lecture d’un album ou celle d’un morceau en particulier avec le doigt.

La manœuvre appelle systématiquement l’affichage d’un écran : « Utilisez Siri pour écouter de la musique grâce à votre abonnement ». Ecran en bas duquel la mention « Mettre à niveau vers Apple Music » n’a pas été oubliée…

Impossible de constituer ses propres playlists

Véritable écueil : il est impossible de se constituer une playlist avec Apple Music Voice. Ce n’est évidemment pas une lacune, mais un privilège réservé aux utilisateurs d’Apple Music, deux fois plus cher. Mais c’est frustrant. De même, Apple Music Voice ne permet pas la lecture de titres « lossless » (non compressés) ou en Audio spatial, deux services que rend, par contre, Apple Music. A la limite, on peut s’en passer.

Par contre, et comme nous l’avons constaté, le service fonctionne avec des enceintes compatibles AirPlay 2. Nous n’avons eu aucune difficulté à lancer des écoutes sur nos enceintes Sonos, par exemple. Les systèmes CarPlay sont également compatibles. Et d’autres écouteurs ou casques audio que ceux de la firme à la pomme fonctionnent avec Apple Music Voice parfaitement.

Un cheval de Troie pour attirer les jeunes

Si, sur l’autel de l’économie de quelques dizaines d’euros par an, on peut se satisfaire d’Apple Music Voice, force est de constater que sa pratique peut devenir contraignante. Après plusieurs jours d’essai, prononcer « Siri » à qui mieux mieux finit par devenir lassant. Et de leur côté, les consommateurs de musique pointilleux sur leurs requêtes risquent de ne pas adhérer au fait qu’un assistant vocal puisse en partie se substituer à leurs recherches.

Reste pour le public une offre économique, sans publicité, avec un catalogue pléthorique. Et pour Apple, un beau cheval de Troie pour toucher les plus jeunes utilisateurs d’iPhone, et peut-être les guider pas à pas vers Apple Music, mais aussi dans l’écosystème des produits de la firme de Cupertino.

L'enceinte HomePod mini d'Apple vendue 99 euros.
L'enceinte HomePod mini d'Apple vendue 99 euros. - APPLE

C’est l’assistant d’Apple qui est aux platines. « Dis s.fr/high-tech/2988303-20210301-apple-veut-ameliorer-siri-comprendre-utilisateurs-troubles-elocution" data-blank="false" data-follow="true" data-sponsored="false">Siri, lance une playlist pour cuisiner ». « Dis Siri, joue Le dernier jour du disco de ta-follow="true" data-sponsored="false">Juliette Armanet ». « Dis Siri, joue Virgin Radio »… Avec le nouveau service de streaming Apple Music Voice, inutile d’essayer d’utiliser son index sur l’écran de son iPhone (ou iPad) pour lancer la lecture d’un morceau. Il faut donner de la voix.

Tel est le concept de cette déclinaison low cost d’Apple Music, qui, avec son abonnement à 4,99 euros par mois, permet quand même de réaliser une économie de 60 euros par an par rapport au service musical historique d’Apple. Pour autant, Apple Music Voice joue-t-il une version dégradée de son aîné ? Oui et non.

Des playlists pour entrer dans le mood

Pour peu qu’il possède un iPhone (clé d’entrée pour accéder à une bibliothèque de 75 millions de titres), l’utilisateur peut trouver tout ce qu’il désire. Il suffit de le demander. Outre un iPhone (ou un iPad), l’opération peut s’effectuer directement à la voix depuis des enceintes HomePod ou HomePod mini, mais aussi depuis le boîtier AppleTV (avec sa télécommande qui possède un micro).

Sans dire combien, Apple affirme avoir créé de nouvelles playlists pour son service. Autant de « moods », comme « Bonne humeur », « Réviser en rythme », « Moment calme », ou « L’évolution black music ». L’occasion d’ambiancer un moment bien particulier. Et de découvrir des titres. Les morceaux s’enchaînent, mais si l’on veut en changer, il faut le demander à Siri («Dis Siri, passe au morceau suivant »), où appuyer sur la touche Skip sur l’écran de son terminal mobile. Si l’on consulte le détail de la playlist choisie sur l’écran de son iPhone, l’activation d’un titre de la pointe de l’index n’en lance que la lecture d’un extrait. Un peu déstabilisant…

Migrer vers Apple Music

C’est d’ailleurs là une constante : si avec Apple Music Voice on peut faire des recherches sur son iPhone, comme dans la discographie d’un artiste, il est impossible de lancer la lecture d’un album ou celle d’un morceau en particulier avec le doigt.

La manœuvre appelle systématiquement l’affichage d’un écran : « Utilisez Siri pour écouter de la musique grâce à votre abonnement ». Ecran en bas duquel la mention « Mettre à niveau vers Apple Music » n’a pas été oubliée…

Impossible de constituer ses propres playlists

Véritable écueil : il est impossible de se constituer une playlist avec Apple Music Voice. Ce n’est évidemment pas une lacune, mais un privilège réservé aux utilisateurs d’Apple Music, deux fois plus cher. Mais c’est frustrant. De même, Apple Music Voice ne permet pas la lecture de titres « lossless » (non compressés) ou en Audio spatial, deux services que rend, par contre, Apple Music. A la limite, on peut s’en passer.

Par contre, et comme nous l’avons constaté, le service fonctionne avec des enceintes compatibles AirPlay 2. Nous n’avons eu aucune difficulté à lancer des écoutes sur nos enceintes Sonos, par exemple. Les systèmes CarPlay sont également compatibles. Et d’autres écouteurs ou casques audio que ceux de la firme à la pomme fonctionnent avec Apple Music Voice parfaitement.

Un cheval de Troie pour attirer les jeunes

Si, sur l’autel de l’économie de quelques dizaines d’euros par an, on peut se satisfaire d’Apple Music Voice, force est de constater que sa pratique peut devenir contraignante. Après plusieurs jours d’essai, prononcer « Siri » à qui mieux mieux finit par devenir lassant. Et de leur côté, les consommateurs de musique pointilleux sur leurs requêtes risquent de ne pas adhérer au fait qu’un assistant vocal puisse en partie se substituer à leurs recherches.

Reste pour le public une offre économique, sans publicité, avec un catalogue pléthorique. Et pour Apple, un beau cheval de Troie pour toucher les plus jeunes utilisateurs d’iPhone, et peut-être les guider pas à pas vers Apple Music, mais aussi dans l’écosystème des produits de la firme de Cupertino.


C’est l’assistant d’Apple qui est aux platines. « Dis Siri, lance une playlist pour cuisiner ». « Dis Siri, joue Le dernier jour du disco de Juliette Armanet ». « Dis Siri, joue Virgin Radio »… Avec le nouveau service de streaming Apple Music Voice, inutile d’essayer d’utiliser son index sur l’écran de son iPhone (ou iPad) pour lancer la lecture d’un morceau. Il faut donner de la voix.

Tel est le concept de cette déclinaison low cost d’Apple Music, qui, avec son abonnement à 4,99 euros par mois, permet quand même de réaliser une économie de 60 euros par an par rapport au service musical historique d’Apple. Pour autant, Apple Music Voice joue-t-il une version dégradée de son aîné ? Oui et non.

Des playlists pour entrer dans le mood

Pour peu qu’il possède un iPhone (clé d’entrée pour accéder à une bibliothèque de 75 millions de titres), l’utilisateur peut trouver tout ce qu’il désire. Il suffit de le demander. Outre un iPhone (ou un iPad), l’opération peut s’effectuer directement à la voix depuis des enceintes HomePod ou HomePod mini, mais aussi depuis le boîtier AppleTV (avec sa télécommande qui possède un micro).

Sans dire combien, Apple affirme avoir créé de nouvelles playlists pour son service. Autant de « moods », comme « Bonne humeur », « Réviser en rythme », « Moment calme », ou « L’évolution black music ». L’occasion d’ambiancer un moment bien particulier. Et de découvrir des titres. Les morceaux s’enchaînent, mais si l’on veut en changer, il faut le demander à Siri («Dis Siri, passe au morceau suivant »), où appuyer sur la touche Skip sur l’écran de son terminal mobile. Si l’on consulte le détail de la playlist choisie sur l’écran de son iPhone, l’activation d’un titre de la pointe de l’index n’en lance que la lecture d’un extrait. Un peu déstabilisant…

Migrer vers Apple Music

C’est d’ailleurs là une constante : si avec Apple Music Voice on peut faire des recherches sur son iPhone, comme dans la discographie d’un artiste, il est impossible de lancer la lecture d’un album ou celle d’un morceau en particulier avec le doigt.

La manœuvre appelle systématiquement l’affichage d’un écran : « Utilisez Siri pour écouter de la musique grâce à votre abonnement ». Ecran en bas duquel la mention « Mettre à niveau vers Apple Music » n’a pas été oubliée…

Impossible de constituer ses propres playlists

Véritable écueil : il est impossible de se constituer une playlist avec Apple Music Voice. Ce n’est évidemment pas une lacune, mais un privilège réservé aux utilisateurs d’Apple Music, deux fois plus cher. Mais c’est frustrant. De même, Apple Music Voice ne permet pas la lecture de titres « lossless » (non compressés) ou en Audio spatial, deux services que rend, par contre, Apple Music. A la limite, on peut s’en passer.

Par contre, et comme nous l’avons constaté, le service fonctionne avec des enceintes compatibles AirPlay 2. Nous n’avons eu aucune difficulté à lancer des écoutes sur nos enceintes Sonos, par exemple. Les systèmes CarPlay sont également compatibles. Et d’autres écouteurs ou casques audio que ceux de la firme à la pomme fonctionnent avec Apple Music Voice parfaitement.

Un cheval de Troie pour attirer les jeunes

Si, sur l’autel de l’économie de quelques dizaines d’euros par an, on peut se satisfaire d’Apple Music Voice, force est de constater que sa pratique peut devenir contraignante. Après plusieurs jours d’essai, prononcer « Siri » à qui mieux mieux finit par devenir lassant. Et de leur côté, les consommateurs de musique pointilleux sur leurs requêtes risquent de ne pas adhérer au fait qu’un assistant vocal puisse en partie se substituer à leurs recherches.

Reste pour le public une offre économique, sans publicité, avec un catalogue pléthorique. Et pour Apple, un beau cheval de Troie pour toucher les plus jeunes utilisateurs d’iPhone, et peut-être les guider pas à pas vers Apple Music, mais aussi dans l’écosystème des produits de la firme de Cupertino.


C’est l’assistant d’Apple qui est aux platines. « Dis Siri, lance une playlist pour cuisiner ». « Dis Siri, joue Le dernier jour du disco de Juliette Armanet ». « Dis Siri, joue Virgin Radio »… Avec le nouveau service de streaming Apple Music Voice, inutile d’essayer d’utiliser son index sur l’écran de son iPhone (ou iPad) pour lancer la lecture d’un morceau. Il faut donner de la voix.

Tel est le concept de cette déclinaison low cost d’Apple Music, qui, avec son abonnement à 4,99 euros par mois, permet quand même de réaliser une économie de 60 euros par an par rapport au service musical historique d’Apple. Pour autant, Apple Music Voice joue-t-il une version dégradée de son aîné ? Oui et non.

Des playlists pour entrer dans le mood

Pour peu qu’il possède un iPhone (clé d’entrée pour accéder à une bibliothèque de 75 millions de titres), l’utilisateur peut trouver tout ce qu’il désire. Il suffit de le demander. Outre un iPhone (ou un iPad), l’opération peut s’effectuer directement à la voix depuis des enceintes HomePod ou HomePod mini, mais aussi depuis le boîtier AppleTV (avec sa télécommande qui possède un micro).

Sans dire combien, Apple affirme avoir créé de nouvelles playlists pour son service. Autant de « moods », comme « Bonne humeur », « Réviser en rythme », « Moment calme », ou « L’évolution black music ». L’occasion d’ambiancer un moment bien particulier. Et de découvrir des titres. Les morceaux s’enchaînent, mais si l’on veut en changer, il faut le demander à Siri («Dis Siri, passe au morceau suivant »), où appuyer sur la touche Skip sur l’écran de son terminal mobile. Si l’on consulte le détail de la playlist choisie sur l’écran de son iPhone, l’activation d’un titre de la pointe de l’index n’en lance que la lecture d’un extrait. Un peu déstabilisant…

Migrer vers Apple Music

C’est d’ailleurs là une constante : si avec Apple Music Voice on peut faire des recherches sur son iPhone, comme dans la discographie d’un artiste, il est impossible de lancer la lecture d’un album ou celle d’un morceau en particulier avec le doigt.

La manœuvre appelle systématiquement l’affichage d’un écran : « Utilisez Siri pour écouter de la musique grâce à votre abonnement ». Ecran en bas duquel la mention « Mettre à niveau vers Apple Music » n’a pas été oubliée…

Impossible de constituer ses propres playlists

Véritable écueil : il est impossible de se constituer une playlist avec Apple Music Voice. Ce n’est évidemment pas une lacune, mais un privilège réservé aux utilisateurs d’Apple Music, deux fois plus cher. Mais c’est frustrant. De même, Apple Music Voice ne permet pas la lecture de titres « lossless » (non compressés) ou en Audio spatial, deux services que rend, par contre, Apple Music. A la limite, on peut s’en passer.

Par contre, et comme nous l’avons constaté, le service fonctionne avec des enceintes compatibles AirPlay 2. Nous n’avons eu aucune difficulté à lancer des écoutes sur nos enceintes Sonos, par exemple. Les systèmes CarPlay sont également compatibles. Et d’autres écouteurs ou casques audio que ceux de la firme à la pomme fonctionnent avec Apple Music Voice parfaitement.

Un cheval de Troie pour attirer les jeunes

Si, sur l’autel de l’économie de quelques dizaines d’euros par an, on peut se satisfaire d’Apple Music Voice, force est de constater que sa pratique peut devenir contraignante. Après plusieurs jours d’essai, prononcer « Siri » à qui mieux mieux finit par devenir lassant. Et de leur côté, les consommateurs de musique pointilleux sur leurs requêtes risquent de ne pas adhérer au fait qu’un assistant vocal puisse en partie se substituer à leurs recherches.

Reste pour le public une offre économique, sans publicité, avec un catalogue pléthorique. Et pour Apple, un beau cheval de Troie pour toucher les plus jeunes utilisateurs d’iPhone, et peut-être les guider pas à pas vers Apple Music, mais aussi dans l’écosystème des produits de la firme de Cupertino.


C’est l’assistant d’Apple qui est aux platines. « Dis Siri, lance une playlist pour cuisiner ». « Dis Siri, joue Le dernier jour du disco de Juliette Armanet ». « Dis Siri, joue Virgin Radio »… Avec le nouveau service de streaming Apple Music Voice, inutile d’essayer d’utiliser son index sur l’écran de son iPhone (ou iPad) pour lancer la lecture d’un morceau. Il faut donner de la voix.

Tel est le concept de cette déclinaison low cost d’Apple Music, qui, avec son abonnement à 4,99 euros par mois, permet quand même de réaliser une économie de 60 euros par an par rapport au service musical historique d’Apple. Pour autant, Apple Music Voice joue-t-il une version dégradée de son aîné ? Oui et non.

Des playlists pour entrer dans le mood

Pour peu qu’il possède un iPhone (clé d’entrée pour accéder à une bibliothèque de 75 millions de titres), l’utilisateur peut trouver tout ce qu’il désire. Il suffit de le demander. Outre un iPhone (ou un iPad), l’opération peut s’effectuer directement à la voix depuis des enceintes HomePod ou HomePod mini, mais aussi depuis le boîtier AppleTV (avec sa télécommande qui possède un micro).

Sans dire combien, Apple affirme avoir créé de nouvelles playlists pour son service. Autant de « moods », comme « Bonne humeur », « Réviser en rythme », « Moment calme », ou « L’évolution black music ». L’occasion d’ambiancer un moment bien particulier. Et de découvrir des titres. Les morceaux s’enchaînent, mais si l’on veut en changer, il faut le demander à Siri («Dis Siri, passe au morceau suivant »), où appuyer sur la touche Skip sur l’écran de son terminal mobile. Si l’on consulte le détail de la playlist choisie sur l’écran de son iPhone, l’activation d’un titre de la pointe de l’index n’en lance que la lecture d’un extrait. Un peu déstabilisant…

Migrer vers Apple Music

C’est d’ailleurs là une constante : si avec Apple Music Voice on peut faire des recherches sur son iPhone, comme dans la discographie d’un artiste, il est impossible de lancer la lecture d’un album ou celle d’un morceau en particulier avec le doigt.

La manœuvre appelle systématiquement l’affichage d’un écran : « Utilisez Siri pour écouter de la musique grâce à votre abonnement ». Ecran en bas duquel la mention « Mettre à niveau vers Apple Music » n’a pas été oubliée…

Impossible de constituer ses propres playlists

Véritable écueil : il est impossible de se constituer une playlist avec Apple Music Voice. Ce n’est évidemment pas une lacune, mais un privilège réservé aux utilisateurs d’Apple Music, deux fois plus cher. Mais c’est frustrant. De même, Apple Music Voice ne permet pas la lecture de titres « lossless » (non compressés) ou en Audio spatial, deux services que rend, par contre, Apple Music. A la limite, on peut s’en passer.

Par contre, et comme nous l’avons constaté, le service fonctionne avec des enceintes compatibles AirPlay 2. Nous n’avons eu aucune difficulté à lancer des écoutes sur nos enceintes Sonos, par exemple. Les systèmes CarPlay sont également compatibles. Et d’autres écouteurs ou casques audio que ceux de la firme à la pomme fonctionnent avec Apple Music Voice parfaitement.

Un cheval de Troie pour attirer les jeunes

Si, sur l’autel de l’économie de quelques dizaines d’euros par an, on peut se satisfaire d’Apple Music Voice, force est de constater que sa pratique peut devenir contraignante. Après plusieurs jours d’essai, prononcer « Siri » à qui mieux mieux finit par devenir lassant. Et de leur côté, les consommateurs de musique pointilleux sur leurs requêtes risquent de ne pas adhérer au fait qu’un assistant vocal puisse en partie se substituer à leurs recherches.

Reste pour le public une offre économique, sans publicité, avec un catalogue pléthorique. Et pour Apple, un beau cheval de Troie pour toucher les plus jeunes utilisateurs d’iPhone, et peut-être les guider pas à pas vers Apple Music, mais aussi dans l’écosystème des produits de la firme de Cupertino.

L'utilisateur est systématiquement revoyé vers SIRI lorsqu'il tente d'accéder à des morceaux manuellement.
L'utilisateur est systématiquement revoyé vers SIRI lorsqu'il tente d'accéder à des morceaux manuellement. - CHRISTOPHE SEFRIN/20 MINUTES

C’est l’assistant d’Apple qui est aux platines. « Dis Siri, lance une playlist pour cuisiner ». « Dis Siri, joue Le dernier jour du disco de Juliette Armanet ». « Dis Siri, joue Virgin Radio »… Avec le nouveau service de streaming Apple Music Voice, inutile d’essayer d’utiliser son index sur l’écran de son iPhone (ou iPad) pour lancer la lecture d’un morceau. Il faut donner de la voix.

Tel est le concept de cette déclinaison low cost d’Apple Music, qui, avec son abonnement à 4,99 euros par mois, permet quand même de réaliser une économie de 60 euros par an par rapport au service musical historique d’Apple. Pour autant, Apple Music Voice joue-t-il une version dégradée de son aîné ? Oui et non.

Des playlists pour entrer dans le mood

Pour peu qu’il possède un iPhone (clé d’entrée pour accéder à une bibliothèque de 75 millions de titres), l’utilisateur peut trouver tout ce qu’il désire. Il suffit de le demander. Outre un iPhone (ou un iPad), l’opération peut s’effectuer directement à la voix depuis des enceintes HomePod ou HomePod mini, mais aussi depuis le boîtier AppleTV (avec sa télécommande qui possède un micro).

Sans dire combien, Apple affirme avoir créé de nouvelles playlists pour son service. Autant de « moods », comme « Bonne humeur », « Réviser en rythme », « Moment calme », ou « L’évolution black music ». L’occasion d’ambiancer un moment bien particulier. Et de découvrir des titres. Les morceaux s’enchaînent, mais si l’on veut en changer, il faut le demander à Siri («Dis Siri, passe au morceau suivant »), où appuyer sur la touche Skip sur l’écran de son terminal mobile. Si l’on consulte le détail de la playlist choisie sur l’écran de son iPhone, l’activation d’un titre de la pointe de l’index n’en lance que la lecture d’un extrait. Un peu déstabilisant…

Migrer vers Apple Music

C’est d’ailleurs là une constante : si avec Apple Music Voice on peut faire des recherches sur son iPhone, comme dans la discographie d’un artiste, il est impossible de lancer la lecture d’un album ou celle d’un morceau en particulier avec le doigt.

La manœuvre appelle systématiquement l’affichage d’un écran : « Utilisez Siri pour écouter de la musique grâce à votre abonnement ». Ecran en bas duquel la mention « Mettre à niveau vers Apple Music » n’a pas été oubliée…

Impossible de constituer ses propres playlists

Véritable écueil : il est impossible de se constituer une playlist avec Apple Music Voice. Ce n’est évidemment pas une lacune, mais un privilège réservé aux utilisateurs d’Apple Music, deux fois plus cher. Mais c’est frustrant. De même, Apple Music Voice ne permet pas la lecture de titres « lossless » (non compressés) ou en Audio spatial, deux services que rend, par contre, Apple Music. A la limite, on peut s’en passer.

Par contre, et comme nous l’avons constaté, le service fonctionne avec des enceintes compatibles AirPlay 2. Nous n’avons eu aucune difficulté à lancer des écoutes sur nos enceintes Sonos, par exemple. Les systèmes CarPlay sont également compatibles. Et d’autres écouteurs ou casques audio que ceux de la firme à la pomme fonctionnent avec Apple Music Voice parfaitement.

Un cheval de Troie pour attirer les jeunes

Si, sur l’autel de l’économie de quelques dizaines d’euros par an, on peut se satisfaire d’Apple Music Voice, force est de constater que sa pratique peut devenir contraignante. Après plusieurs jours d’essai, prononcer « Siri » à qui mieux mieux finit par devenir lassant. Et de leur côté, les consommateurs de musique pointilleux sur leurs requêtes risquent de ne pas adhérer au fait qu’un assistant vocal puisse en partie se substituer à leurs recherches.

Reste pour le public une offre économique, sans publicité, avec un catalogue pléthorique. Et pour Apple, un beau cheval de Troie pour toucher les plus jeunes utilisateurs d’iPhone, et peut-être les guider pas à pas vers Apple Music, mais aussi dans l’écosystème des produits de la firme de Cupertino.


C’est l’assistant d’Apple qui est aux platines. « Dis Siri, lance une playlist pour cuisiner ». « Dis Siri, joue Le dernier jour du disco de Juliette Armanet ». « Dis Siri, joue Virgin Radio »… Avec le nouveau service de streaming Apple Music Voice, inutile d’essayer d’utiliser son index sur l’écran de son iPhone (ou iPad) pour lancer la lecture d’un morceau. Il faut donner de la voix.

Tel est le concept de cette déclinaison low cost d’Apple Music, qui, avec son abonnement à 4,99 euros par mois, permet quand même de réaliser une économie de 60 euros par an par rapport au service musical historique d’Apple. Pour autant, Apple Music Voice joue-t-il une version dégradée de son aîné ? Oui et non.

Des playlists pour entrer dans le mood

Pour peu qu’il possède un iPhone (clé d’entrée pour accéder à une bibliothèque de 75 millions de titres), l’utilisateur peut trouver tout ce qu’il désire. Il suffit de le demander. Outre un iPhone (ou un iPad), l’opération peut s’effectuer directement à la voix depuis des enceintes HomePod ou HomePod mini, mais aussi depuis le boîtier AppleTV (avec sa télécommande qui possède un micro).

Sans dire combien, Apple affirme avoir créé de nouvelles playlists pour son service. Autant de « moods », comme « Bonne humeur », « Réviser en rythme », « Moment calme », ou « L’évolution black music ». L’occasion d’ambiancer un moment bien particulier. Et de découvrir des titres. Les morceaux s’enchaînent, mais si l’on veut en changer, il faut le demander à Siri («Dis Siri, passe au morceau suivant »), où appuyer sur la touche Skip sur l’écran de son terminal mobile. Si l’on consulte le détail de la playlist choisie sur l’écran de son iPhone, l’activation d’un titre de la pointe de l’index n’en lance que la lecture d’un extrait. Un peu déstabilisant…

Migrer vers Apple Music

C’est d’ailleurs là une constante : si avec Apple Music Voice on peut faire des recherches sur son iPhone, comme dans la discographie d’un artiste, il est impossible de lancer la lecture d’un album ou celle d’un morceau en particulier avec le doigt.

La manœuvre appelle systématiquement l’affichage d’un écran : « Utilisez Siri pour écouter de la musique grâce à votre abonnement ». Ecran en bas duquel la mention « Mettre à niveau vers Apple Music » n’a pas été oubliée…

Impossible de constituer ses propres playlists

Véritable écueil : il est impossible de se constituer une playlist avec Apple Music Voice. Ce n’est évidemment pas une lacune, mais un privilège réservé aux utilisateurs d’Apple Music, deux fois plus cher. Mais c’est frustrant. De même, Apple Music Voice ne permet pas la lecture de titres « lossless » (non compressés) ou en Audio spatial, deux services que rend, par contre, Apple Music. A la limite, on peut s’en passer.

Par contre, et comme nous l’avons constaté, le service fonctionne avec des enceintes compatibles AirPlay 2. Nous n’avons eu aucune difficulté à lancer des écoutes sur nos enceintes Sonos, par exemple. Les systèmes CarPlay sont également compatibles. Et d’autres écouteurs ou casques audio que ceux de la firme à la pomme fonctionnent avec Apple Music Voice parfaitement.

Un cheval de Troie pour attirer les jeunes

Si, sur l’autel de l’économie de quelques dizaines d’euros par an, on peut se satisfaire d’Apple Music Voice, force est de constater que sa pratique peut devenir contraignante. Après plusieurs jours d’essai, prononcer « Siri » à qui mieux mieux finit par devenir lassant. Et de leur côté, les consommateurs de musique pointilleux sur leurs requêtes risquent de ne pas adhérer au fait qu’un assistant vocal puisse en partie se substituer à leurs recherches.

Reste pour le public une offre économique, sans publicité, avec un catalogue pléthorique. Et pour Apple, un beau cheval de Troie pour toucher les plus jeunes utilisateurs d’iPhone, et peut-être les guider pas à pas vers Apple Music, mais aussi dans l’écosystème des produits de la firme de Cupertino.


C’est l’assistant d’Apple qui est aux platines. « Dis Siri, lance une playlist pour cuisiner ». « Dis Siri, joue Le dernier jour du disco de Juliette Armanet ». « Dis Siri, joue Virgin Radio »… Avec le nouveau service de streaming Apple Music Voice, inutile d’essayer d’utiliser son index sur l’écran de son iPhone (ou iPad) pour lancer la lecture d’un morceau. Il faut donner de la voix.

Tel est le concept de cette déclinaison low cost d’Apple Music, qui, avec son abonnement à 4,99 euros par mois, permet quand même de réaliser une économie de 60 euros par an par rapport au service musical historique d’Apple. Pour autant, Apple Music Voice joue-t-il une version dégradée de son aîné ? Oui et non.

Des playlists pour entrer dans le mood

Pour peu qu’il possède un iPhone (clé d’entrée pour accéder à une bibliothèque de 75 millions de titres), l’utilisateur peut trouver tout ce qu’il désire. Il suffit de le demander. Outre un iPhone (ou un iPad), l’opération peut s’effectuer directement à la voix depuis des enceintes HomePod ou HomePod mini, mais aussi depuis le boîtier AppleTV (avec sa télécommande qui possède un micro).

Sans dire combien, Apple affirme avoir créé de nouvelles playlists pour son service. Autant de « moods », comme « Bonne humeur », « Réviser en rythme », « Moment calme », ou « L’évolution black music ». L’occasion d’ambiancer un moment bien particulier. Et de découvrir des titres. Les morceaux s’enchaînent, mais si l’on veut en changer, il faut le demander à Siri («Dis Siri, passe au morceau suivant »), où appuyer sur la touche Skip sur l’écran de son terminal mobile. Si l’on consulte le détail de la playlist choisie sur l’écran de son iPhone, l’activation d’un titre de la pointe de l’index n’en lance que la lecture d’un extrait. Un peu déstabilisant…

Migrer vers Apple Music

C’est d’ailleurs là une constante : si avec Apple Music Voice on peut faire des recherches sur son iPhone, comme dans la discographie d’un artiste, il est impossible de lancer la lecture d’un album ou celle d’un morceau en particulier avec le doigt.

La manœuvre appelle systématiquement l’affichage d’un écran : « Utilisez Siri pour écouter de la musique grâce à votre abonnement ». Ecran en bas duquel la mention « Mettre à niveau vers Apple Music » n’a pas été oubliée…

Impossible de constituer ses propres playlists

Véritable écueil : il est impossible de se constituer une playlist avec Apple Music Voice. Ce n’est évidemment pas une lacune, mais un privilège réservé aux utilisateurs d’Apple Music, deux fois plus cher. Mais c’est frustrant. De même, Apple Music Voice ne permet pas la lecture de titres « lossless » (non compressés) ou en Audio spatial, deux services que rend, par contre, Apple Music. A la limite, on peut s’en passer.

Par contre, et comme nous l’avons constaté, le service fonctionne avec des enceintes compatibles AirPlay 2. Nous n’avons eu aucune difficulté à lancer des écoutes sur nos enceintes Sonos, par exemple. Les systèmes CarPlay sont également compatibles. Et d’autres écouteurs ou casques audio que ceux de la firme à la pomme fonctionnent avec Apple Music Voice parfaitement.

Un cheval de Troie pour attirer les jeunes

Si, sur l’autel de l’économie de quelques dizaines d’euros par an, on peut se satisfaire d’Apple Music Voice, force est de constater que sa pratique peut devenir contraignante. Après plusieurs jours d’essai, prononcer « Siri » à qui mieux mieux finit par devenir lassant. Et de leur côté, les consommateurs de musique pointilleux sur leurs requêtes risquent de ne pas adhérer au fait qu’un assistant vocal puisse en partie se substituer à leurs recherches.

Reste pour le public une offre économique, sans publicité, avec un catalogue pléthorique. Et pour Apple, un beau cheval de Troie pour toucher les plus jeunes utilisateurs d’iPhone, et peut-être les guider pas à pas vers Apple Music, mais aussi dans l’écosystème des produits de la firme de Cupertino.


C’est l’assistant d’Apple qui est aux platines. « Dis Siri, lance une playlist pour cuisiner ». « Dis Siri, joue Le dernier jour du disco de Juliette Armanet ». « Dis Siri, joue Virgin Radio »… Avec le nouveau service de streaming Apple Music Voice, inutile d’essayer d’utiliser son index sur l’écran de son iPhone (ou iPad) pour lancer la lecture d’un morceau. Il faut donner de la voix.

Tel est le concept de cette déclinaison low cost d’Apple Music, qui, avec son abonnement à 4,99 euros par mois, permet quand même de réaliser une économie de 60 euros par an par rapport au service musical historique d’Apple. Pour autant, Apple Music Voice joue-t-il une version dégradée de son aîné ? Oui et non.

Des playlists pour entrer dans le mood

Pour peu qu’il possède un iPhone (clé d’entrée pour accéder à une bibliothèque de 75 millions de titres), l’utilisateur peut trouver tout ce qu’il désire. Il suffit de le demander. Outre un iPhone (ou un iPad), l’opération peut s’effectuer directement à la voix depuis des enceintes HomePod ou HomePod mini, mais aussi depuis le boîtier AppleTV (avec sa télécommande qui possède un micro).

Sans dire combien, Apple affirme avoir créé de nouvelles playlists pour son service. Autant de « moods », comme « Bonne humeur », « Réviser en rythme », « Moment calme », ou « L’évolution black music ». L’occasion d’ambiancer un moment bien particulier. Et de découvrir des titres. Les morceaux s’enchaînent, mais si l’on veut en changer, il faut le demander à Siri («Dis Siri, passe au morceau suivant »), où appuyer sur la touche Skip sur l’écran de son terminal mobile. Si l’on consulte le détail de la playlist choisie sur l’écran de son iPhone, l’activation d’un titre de la pointe de l’index n’en lance que la lecture d’un extrait. Un peu déstabilisant…

Migrer vers Apple Music

C’est d’ailleurs là une constante : si avec Apple Music Voice on peut faire des recherches sur son iPhone, comme dans la discographie d’un artiste, il est impossible de lancer la lecture d’un album ou celle d’un morceau en particulier avec le doigt.

La manœuvre appelle systématiquement l’affichage d’un écran : « Utilisez Siri pour écouter de la musique grâce à votre abonnement ». Ecran en bas duquel la mention « Mettre à niveau vers Apple Music » n’a pas été oubliée…

Impossible de constituer ses propres playlists

Véritable écueil : il est impossible de se constituer une playlist avec Apple Music Voice. Ce n’est évidemment pas une lacune, mais un privilège réservé aux utilisateurs d’Apple Music, deux fois plus cher. Mais c’est frustrant. De même, Apple Music Voice ne permet pas la lecture de titres « lossless » (non compressés) ou en Audio spatial, deux services que rend, par contre, Apple Music. A la limite, on peut s’en passer.

Par contre, et comme nous l’avons constaté, le service fonctionne avec des enceintes compatibles AirPlay 2. Nous n’avons eu aucune difficulté à lancer des écoutes sur nos enceintes Sonos, par exemple. Les systèmes CarPlay sont également compatibles. Et d’autres écouteurs ou casques audio que ceux de la firme à la pomme fonctionnent avec Apple Music Voice parfaitement.

Un cheval de Troie pour attirer les jeunes

Si, sur l’autel de l’économie de quelques dizaines d’euros par an, on peut se satisfaire d’Apple Music Voice, force est de constater que sa pratique peut devenir contraignante. Après plusieurs jours d’essai, prononcer « Siri » à qui mieux mieux finit par devenir lassant. Et de leur côté, les consommateurs de musique pointilleux sur leurs requêtes risquent de ne pas adhérer au fait qu’un assistant vocal puisse en partie se substituer à leurs recherches.

Reste pour le public une offre économique, sans publicité, avec un catalogue pléthorique. Et pour Apple, un beau cheval de Troie pour toucher les plus jeunes utilisateurs d’iPhone, et peut-être les guider pas à pas vers Apple Music, mais aussi dans l’écosystème des produits de la firme de Cupertino.

Avec Apple Music Voice, Apple met en avant son écosystème de produits dédiés à la musique.
Avec Apple Music Voice, Apple met en avant son écosystème de produits dédiés à la musique. - APPLE

C’est l’assistant d’Apple qui est aux platines. « Dis Siri, lance une playlist pour cuisiner ». « Dis Siri, joue Le dernier jour du disco de Juliette Armanet ». « Dis Siri, joue Virgin Radio »… Avec le nouveau service de streaming Apple Music Voice, inutile d’essayer d’utiliser son index sur l’écran de son iPhone (ou iPad) pour lancer la lecture d’un morceau. Il faut donner de la voix.

Tel est le concept de cette déclinaison low cost d’Apple Music, qui, avec son abonnement à 4,99 euros par mois, permet quand même de réaliser une économie de 60 euros par an par rapport au service musical historique d’Apple. Pour autant, Apple Music Voice joue-t-il une version dégradée de son aîné ? Oui et non.

Des playlists pour entrer dans le mood

Pour peu qu’il possède un iPhone (clé d’entrée pour accéder à une bibliothèque de 75 millions de titres), l’utilisateur peut trouver tout ce qu’il désire. Il suffit de le demander. Outre un iPhone (ou un iPad), l’opération peut s’effectuer directement à la voix depuis des enceintes HomePod ou HomePod mini, mais aussi depuis le boîtier AppleTV (avec sa télécommande qui possède un micro).

Sans dire combien, Apple affirme avoir créé de nouvelles playlists pour son service. Autant de « moods », comme « Bonne humeur », « Réviser en rythme », « Moment calme », ou « L’évolution black music ». L’occasion d’ambiancer un moment bien particulier. Et de découvrir des titres. Les morceaux s’enchaînent, mais si l’on veut en changer, il faut le demander à Siri («Dis Siri, passe au morceau suivant »), où appuyer sur la touche Skip sur l’écran de son terminal mobile. Si l’on consulte le détail de la playlist choisie sur l’écran de son iPhone, l’activation d’un titre de la pointe de l’index n’en lance que la lecture d’un extrait. Un peu déstabilisant…

Migrer vers Apple Music

C’est d’ailleurs là une constante : si avec Apple Music Voice on peut faire des recherches sur son iPhone, comme dans la discographie d’un artiste, il est impossible de lancer la lecture d’un album ou celle d’un morceau en particulier avec le doigt.

La manœuvre appelle systématiquement l’affichage d’un écran : « Utilisez Siri pour écouter de la musique grâce à votre abonnement ». Ecran en bas duquel la mention « Mettre à niveau vers Apple Music » n’a pas été oubliée…

Impossible de constituer ses propres playlists

Véritable écueil : il est impossible de se constituer une playlist avec Apple Music Voice. Ce n’est évidemment pas une lacune, mais un privilège réservé aux utilisateurs d’Apple Music, deux fois plus cher. Mais c’est frustrant. De même, Apple Music Voice ne permet pas la lecture de titres « lossless » (non compressés) ou en Audio spatial, deux services que rend, par contre, Apple Music. A la limite, on peut s’en passer.

Par contre, et comme nous l’avons constaté, le service fonctionne avec des enceintes compatibles AirPlay 2. Nous n’avons eu aucune difficulté à lancer des écoutes sur nos enceintes Sonos, par exemple. Les systèmes CarPlay sont également compatibles. Et d’autres écouteurs ou casques audio que ceux de la firme à la pomme fonctionnent avec Apple Music Voice parfaitement.

Un cheval de Troie pour attirer les jeunes

Si, sur l’autel de l’économie de quelques dizaines d’euros par an, on peut se satisfaire d’Apple Music Voice, force est de constater que sa pratique peut devenir contraignante. Après plusieurs jours d’essai, prononcer « Siri » à qui mieux mieux finit par devenir lassant. Et de leur côté, les consommateurs de musique pointilleux sur leurs requêtes risquent de ne pas adhérer au fait qu’un assistant vocal puisse en partie se substituer à leurs recherches.

Reste pour le public une offre économique, sans publicité, avec un catalogue pléthorique. Et pour Apple, un beau cheval de Troie pour toucher les plus jeunes utilisateurs d’iPhone, et peut-être les guider pas à pas vers Apple Music, mais aussi dans l’écosystème des produits de la firme de Cupertino.

Sonos

C’est l’assistant d’Apple qui est aux platines. « Dis Siri, lance une playlist pour cuisiner ». « Dis Siri, joue Le dernier jour du disco de Juliette Armanet ». « Dis Siri, joue Virgin Radio »… Avec le nouveau service de streaming Apple Music Voice, inutile d’essayer d’utiliser son index sur l’écran de son iPhone (ou iPad) pour lancer la lecture d’un morceau. Il faut donner de la voix.

Tel est le concept de cette déclinaison low cost d’Apple Music, qui, avec son abonnement à 4,99 euros par mois, permet quand même de réaliser une économie de 60 euros par an par rapport au service musical historique d’Apple. Pour autant, Apple Music Voice joue-t-il une version dégradée de son aîné ? Oui et non.

Des playlists pour entrer dans le mood

Pour peu qu’il possède un iPhone (clé d’entrée pour accéder à une bibliothèque de 75 millions de titres), l’utilisateur peut trouver tout ce qu’il désire. Il suffit de le demander. Outre un iPhone (ou un iPad), l’opération peut s’effectuer directement à la voix depuis des enceintes HomePod ou HomePod mini, mais aussi depuis le boîtier AppleTV (avec sa télécommande qui possède un micro).

Sans dire combien, Apple affirme avoir créé de nouvelles playlists pour son service. Autant de « moods », comme « Bonne humeur », « Réviser en rythme », « Moment calme », ou « L’évolution black music ». L’occasion d’ambiancer un moment bien particulier. Et de découvrir des titres. Les morceaux s’enchaînent, mais si l’on veut en changer, il faut le demander à Siri («Dis Siri, passe au morceau suivant »), où appuyer sur la touche Skip sur l’écran de son terminal mobile. Si l’on consulte le détail de la playlist choisie sur l’écran de son iPhone, l’activation d’un titre de la pointe de l’index n’en lance que la lecture d’un extrait. Un peu déstabilisant…

Migrer vers Apple Music

C’est d’ailleurs là une constante : si avec Apple Music Voice on peut faire des recherches sur son iPhone, comme dans la discographie d’un artiste, il est impossible de lancer la lecture d’un album ou celle d’un morceau en particulier avec le doigt.

La manœuvre appelle systématiquement l’affichage d’un écran : « Utilisez Siri pour écouter de la musique grâce à votre abonnement ». Ecran en bas duquel la mention « Mettre à niveau vers Apple Music » n’a pas été oubliée…

Impossible de constituer ses propres playlists

Véritable écueil : il est impossible de se constituer une playlist avec Apple Music Voice. Ce n’est évidemment pas une lacune, mais un privilège réservé aux utilisateurs d’Apple Music, deux fois plus cher. Mais c’est frustrant. De même, Apple Music Voice ne permet pas la lecture de titres « lossless » (non compressés) ou en Audio spatial, deux services que rend, par contre, Apple Music. A la limite, on peut s’en passer.

Par contre, et comme nous l’avons constaté, le service fonctionne avec des enceintes compatibles AirPlay 2. Nous n’avons eu aucune difficulté à lancer des écoutes sur nos enceintes Sonos, par exemple. Les systèmes CarPlay sont également compatibles. Et d’autres écouteurs ou casques audio que ceux de la firme à la pomme fonctionnent avec Apple Music Voice parfaitement.

Un cheval de Troie pour attirer les jeunes

Si, sur l’autel de l’économie de quelques dizaines d’euros par an, on peut se satisfaire d’Apple Music Voice, force est de constater que sa pratique peut devenir contraignante. Après plusieurs jours d’essai, prononcer « Siri » à qui mieux mieux finit par devenir lassant. Et de leur côté, les consommateurs de musique pointilleux sur leurs requêtes risquent de ne pas adhérer au fait qu’un assistant vocal puisse en partie se substituer à leurs recherches.

Reste pour le public une offre économique, sans publicité, avec un catalogue pléthorique. Et pour Apple, un beau cheval de Troie pour toucher les plus jeunes utilisateurs d’iPhone, et peut-être les guider pas à pas vers Apple Music, mais aussi dans l’écosystème des produits de la firme de Cupertino.


C’est l’assistant d’Apple qui est aux platines. « Dis Siri, lance une playlist pour cuisiner ». « Dis Siri, joue Le dernier jour du disco de Juliette Armanet ». « Dis Siri, joue Virgin Radio »… Avec le nouveau service de streaming Apple Music Voice, inutile d’essayer d’utiliser son index sur l’écran de son iPhone (ou iPad) pour lancer la lecture d’un morceau. Il faut donner de la voix.

Tel est le concept de cette déclinaison low cost d’Apple Music, qui, avec son abonnement à 4,99 euros par mois, permet quand même de réaliser une économie de 60 euros par an par rapport au service musical historique d’Apple. Pour autant, Apple Music Voice joue-t-il une version dégradée de son aîné ? Oui et non.

Des playlists pour entrer dans le mood

Pour peu qu’il possède un iPhone (clé d’entrée pour accéder à une bibliothèque de 75 millions de titres), l’utilisateur peut trouver tout ce qu’il désire. Il suffit de le demander. Outre un iPhone (ou un iPad), l’opération peut s’effectuer directement à la voix depuis des enceintes HomePod ou HomePod mini, mais aussi depuis le boîtier AppleTV (avec sa télécommande qui possède un micro).

Sans dire combien, Apple affirme avoir créé de nouvelles playlists pour son service. Autant de « moods », comme « Bonne humeur », « Réviser en rythme », « Moment calme », ou « L’évolution black music ». L’occasion d’ambiancer un moment bien particulier. Et de découvrir des titres. Les morceaux s’enchaînent, mais si l’on veut en changer, il faut le demander à Siri («Dis Siri, passe au morceau suivant »), où appuyer sur la touche Skip sur l’écran de son terminal mobile. Si l’on consulte le détail de la playlist choisie sur l’écran de son iPhone, l’activation d’un titre de la pointe de l’index n’en lance que la lecture d’un extrait. Un peu déstabilisant…

Migrer vers Apple Music

C’est d’ailleurs là une constante : si avec Apple Music Voice on peut faire des recherches sur son iPhone, comme dans la discographie d’un artiste, il est impossible de lancer la lecture d’un album ou celle d’un morceau en particulier avec le doigt.

La manœuvre appelle systématiquement l’affichage d’un écran : « Utilisez Siri pour écouter de la musique grâce à votre abonnement ». Ecran en bas duquel la mention « Mettre à niveau vers Apple Music » n’a pas été oubliée…

Impossible de constituer ses propres playlists

Véritable écueil : il est impossible de se constituer une playlist avec Apple Music Voice. Ce n’est évidemment pas une lacune, mais un privilège réservé aux utilisateurs d’Apple Music, deux fois plus cher. Mais c’est frustrant. De même, Apple Music Voice ne permet pas la lecture de titres « lossless » (non compressés) ou en Audio spatial, deux services que rend, par contre, Apple Music. A la limite, on peut s’en passer.

Par contre, et comme nous l’avons constaté, le service fonctionne avec des enceintes compatibles AirPlay 2. Nous n’avons eu aucune difficulté à lancer des écoutes sur nos enceintes Sonos, par exemple. Les systèmes CarPlay sont également compatibles. Et d’autres écouteurs ou casques audio que ceux de la firme à la pomme fonctionnent avec Apple Music Voice parfaitement.

Un cheval de Troie pour attirer les jeunes

Si, sur l’autel de l’économie de quelques dizaines d’euros par an, on peut se satisfaire d’Apple Music Voice, force est de constater que sa pratique peut devenir contraignante. Après plusieurs jours d’essai, prononcer « Siri » à qui mieux mieux finit par devenir lassant. Et de leur côté, les consommateurs de musique pointilleux sur leurs requêtes risquent de ne pas adhérer au fait qu’un assistant vocal puisse en partie se substituer à leurs recherches.

Reste pour le public une offre économique, sans publicité, avec un catalogue pléthorique. Et pour Apple, un beau cheval de Troie pour toucher les plus jeunes utilisateurs d’iPhone, et peut-être les guider pas à pas vers Apple Music, mais aussi dans l’écosystème des produits de la firme de Cupertino.


C’est l’assistant d’Apple qui est aux platines. « Dis Siri, lance une playlist pour cuisiner ». « Dis Siri, joue Le dernier jour du disco de Juliette Armanet ». « Dis Siri, joue Virgin Radio »… Avec le nouveau service de streaming Apple Music Voice, inutile d’essayer d’utiliser son index sur l’écran de son iPhone (ou iPad) pour lancer la lecture d’un morceau. Il faut donner de la voix.

Tel est le concept de cette déclinaison low cost d’Apple Music, qui, avec son abonnement à 4,99 euros par mois, permet quand même de réaliser une économie de 60 euros par an par rapport au service musical historique d’Apple. Pour autant, Apple Music Voice joue-t-il une version dégradée de son aîné ? Oui et non.

Des playlists pour entrer dans le mood

Pour peu qu’il possède un iPhone (clé d’entrée pour accéder à une bibliothèque de 75 millions de titres), l’utilisateur peut trouver tout ce qu’il désire. Il suffit de le demander. Outre un iPhone (ou un iPad), l’opération peut s’effectuer directement à la voix depuis des enceintes HomePod ou HomePod mini, mais aussi depuis le boîtier AppleTV (avec sa télécommande qui possède un micro).

Sans dire combien, Apple affirme avoir créé de nouvelles playlists pour son service. Autant de « moods », comme « Bonne humeur », « Réviser en rythme », « Moment calme », ou « L’évolution black music ». L’occasion d’ambiancer un moment bien particulier. Et de découvrir des titres. Les morceaux s’enchaînent, mais si l’on veut en changer, il faut le demander à Siri («Dis Siri, passe au morceau suivant »), où appuyer sur la touche Skip sur l’écran de son terminal mobile. Si l’on consulte le détail de la playlist choisie sur l’écran de son iPhone, l’activation d’un titre de la pointe de l’index n’en lance que la lecture d’un extrait. Un peu déstabilisant…

Migrer vers Apple Music

C’est d’ailleurs là une constante : si avec Apple Music Voice on peut faire des recherches sur son iPhone, comme dans la discographie d’un artiste, il est impossible de lancer la lecture d’un album ou celle d’un morceau en particulier avec le doigt.

La manœuvre appelle systématiquement l’affichage d’un écran : « Utilisez Siri pour écouter de la musique grâce à votre abonnement ». Ecran en bas duquel la mention « Mettre à niveau vers Apple Music » n’a pas été oubliée…

Impossible de constituer ses propres playlists

Véritable écueil : il est impossible de se constituer une playlist avec Apple Music Voice. Ce n’est évidemment pas une lacune, mais un privilège réservé aux utilisateurs d’Apple Music, deux fois plus cher. Mais c’est frustrant. De même, Apple Music Voice ne permet pas la lecture de titres « lossless » (non compressés) ou en Audio spatial, deux services que rend, par contre, Apple Music. A la limite, on peut s’en passer.

Par contre, et comme nous l’avons constaté, le service fonctionne avec des enceintes compatibles AirPlay 2. Nous n’avons eu aucune difficulté à lancer des écoutes sur nos enceintes Sonos, par exemple. Les systèmes CarPlay sont également compatibles. Et d’autres écouteurs ou casques audio que ceux de la firme à la pomme fonctionnent avec Apple Music Voice parfaitement.

Un cheval de Troie pour attirer les jeunes

Si, sur l’autel de l’économie de quelques dizaines d’euros par an, on peut se satisfaire d’Apple Music Voice, force est de constater que sa pratique peut devenir contraignante. Après plusieurs jours d’essai, prononcer « Siri » à qui mieux mieux finit par devenir lassant. Et de leur côté, les consommateurs de musique pointilleux sur leurs requêtes risquent de ne pas adhérer au fait qu’un assistant vocal puisse en partie se substituer à leurs recherches.

Reste pour le public une offre économique, sans publicité, avec un catalogue pléthorique. Et pour Apple, un beau cheval de Troie pour toucher les plus jeunes utilisateurs d’iPhone, et peut-être les guider pas à pas vers Apple Music, mais aussi dans l’écosystème des produits de la firme de Cupertino.


C’est l’assistant d’Apple qui est aux platines. « Dis Siri, lance une playlist pour cuisiner ». « Dis Siri, joue Le dernier jour du disco de Juliette Armanet ». « Dis Siri, joue Virgin Radio »… Avec le nouveau service de streaming Apple Music Voice, inutile d’essayer d’utiliser son index sur l’écran de son iPhone (ou iPad) pour lancer la lecture d’un morceau. Il faut donner de la voix.

Tel est le concept de cette déclinaison low cost d’Apple Music, qui, avec son abonnement à 4,99 euros par mois, permet quand même de réaliser une économie de 60 euros par an par rapport au service musical historique d’Apple. Pour autant, Apple Music Voice joue-t-il une version dégradée de son aîné ? Oui et non.

Des playlists pour entrer dans le mood

Pour peu qu’il possède un iPhone (clé d’entrée pour accéder à une bibliothèque de 75 millions de titres), l’utilisateur peut trouver tout ce qu’il désire. Il suffit de le demander. Outre un iPhone (ou un iPad), l’opération peut s’effectuer directement à la voix depuis des enceintes HomePod ou HomePod mini, mais aussi depuis le boîtier AppleTV (avec sa télécommande qui possède un micro).

Sans dire combien, Apple affirme avoir créé de nouvelles playlists pour son service. Autant de « moods », comme « Bonne humeur », « Réviser en rythme », « Moment calme », ou « L’évolution black music ». L’occasion d’ambiancer un moment bien particulier. Et de découvrir des titres. Les morceaux s’enchaînent, mais si l’on veut en changer, il faut le demander à Siri («Dis Siri, passe au morceau suivant »), où appuyer sur la touche Skip sur l’écran de son terminal mobile. Si l’on consulte le détail de la playlist choisie sur l’écran de son iPhone, l’activation d’un titre de la pointe de l’index n’en lance que la lecture d’un extrait. Un peu déstabilisant…

Migrer vers Apple Music

C’est d’ailleurs là une constante : si avec Apple Music Voice on peut faire des recherches sur son iPhone, comme dans la discographie d’un artiste, il est impossible de lancer la lecture d’un album ou celle d’un morceau en particulier avec le doigt.

La manœuvre appelle systématiquement l’affichage d’un écran : « Utilisez Siri pour écouter de la musique grâce à votre abonnement ». Ecran en bas duquel la mention « Mettre à niveau vers Apple Music » n’a pas été oubliée…

Impossible de constituer ses propres playlists

Véritable écueil : il est impossible de se constituer une playlist avec Apple Music Voice. Ce n’est évidemment pas une lacune, mais un privilège réservé aux utilisateurs d’Apple Music, deux fois plus cher. Mais c’est frustrant. De même, Apple Music Voice ne permet pas la lecture de titres « lossless » (non compressés) ou en Audio spatial, deux services que rend, par contre, Apple Music. A la limite, on peut s’en passer.

Par contre, et comme nous l’avons constaté, le service fonctionne avec des enceintes compatibles AirPlay 2. Nous n’avons eu aucune difficulté à lancer des écoutes sur nos enceintes Sonos, par exemple. Les systèmes CarPlay sont également compatibles. Et d’autres écouteurs ou casques audio que ceux de la firme à la pomme fonctionnent avec Apple Music Voice parfaitement.

Un cheval de Troie pour attirer les jeunes

Si, sur l’autel de l’économie de quelques dizaines d’euros par an, on peut se satisfaire d’Apple Music Voice, force est de constater que sa pratique peut devenir contraignante. Après plusieurs jours d’essai, prononcer « Siri » à qui mieux mieux finit par devenir lassant. Et de leur côté, les consommateurs de musique pointilleux sur leurs requêtes risquent de ne pas adhérer au fait qu’un assistant vocal puisse en partie se substituer à leurs recherches.

Reste pour le public une offre économique, sans publicité, avec un catalogue pléthorique. Et pour Apple, un beau cheval de Troie pour toucher les plus jeunes utilisateurs d’iPhone, et peut-être les guider pas à pas vers Apple Music, mais aussi dans l’écosystème des produits de la firme de Cupertino.

L'utilisateur d'Apple Music Voice est régulièrement appelé à migrer vers Apple Music.
L'utilisateur d'Apple Music Voice est régulièrement appelé à migrer vers Apple Music. - CHRISTOPHE SEFRIN/20 MINUTES

C’est l’assistant d’Apple qui est aux platines. « Dis Siri, lance une playlist pour cuisiner ». « Dis Siri, joue Le dernier jour du disco de Juliette Armanet ». « Dis Siri, joue Virgin Radio »… Avec le nouveau service de streaming Apple Music Voice, inutile d’essayer d’utiliser son index sur l’écran de son iPhone (ou iPad) pour lancer la lecture d’un morceau. Il faut donner de la voix.

Tel est le concept de cette déclinaison low cost d’Apple Music, qui, avec son abonnement à 4,99 euros par mois, permet quand même de réaliser une économie de 60 euros par an par rapport au service musical historique d’Apple. Pour autant, Apple Music Voice joue-t-il une version dégradée de son aîné ? Oui et non.

Des playlists pour entrer dans le mood

Pour peu qu’il possède un iPhone (clé d’entrée pour accéder à une bibliothèque de 75 millions de titres), l’utilisateur peut trouver tout ce qu’il désire. Il suffit de le demander. Outre un iPhone (ou un iPad), l’opération peut s’effectuer directement à la voix depuis des enceintes HomePod ou HomePod mini, mais aussi depuis le boîtier AppleTV (avec sa télécommande qui possède un micro).

Sans dire combien, Apple affirme avoir créé de nouvelles playlists pour son service. Autant de « moods », comme « Bonne humeur », « Réviser en rythme », « Moment calme », ou « L’évolution black music ». L’occasion d’ambiancer un moment bien particulier. Et de découvrir des titres. Les morceaux s’enchaînent, mais si l’on veut en changer, il faut le demander à Siri («Dis Siri, passe au morceau suivant »), où appuyer sur la touche Skip sur l’écran de son terminal mobile. Si l’on consulte le détail de la playlist choisie sur l’écran de son iPhone, l’activation d’un titre de la pointe de l’index n’en lance que la lecture d’un extrait. Un peu déstabilisant…

Migrer vers Apple Music

C’est d’ailleurs là une constante : si avec Apple Music Voice on peut faire des recherches sur son iPhone, comme dans la discographie d’un artiste, il est impossible de lancer la lecture d’un album ou celle d’un morceau en particulier avec le doigt.

La manœuvre appelle systématiquement l’affichage d’un écran : « Utilisez Siri pour écouter de la musique grâce à votre abonnement ». Ecran en bas duquel la mention « Mettre à niveau vers Apple Music » n’a pas été oubliée…

Impossible de constituer ses propres playlists

Véritable écueil : il est impossible de se constituer une playlist avec Apple Music Voice. Ce n’est évidemment pas une lacune, mais un privilège réservé aux utilisateurs d’Apple Music, deux fois plus cher. Mais c’est frustrant. De même, Apple Music Voice ne permet pas la lecture de titres « lossless » (non compressés) ou en Audio spatial, deux services que rend, par contre, Apple Music. A la limite, on peut s’en passer.

Par contre, et comme nous l’avons constaté, le service fonctionne avec des enceintes compatibles AirPlay 2. Nous n’avons eu aucune difficulté à lancer des écoutes sur nos enceintes Sonos, par exemple. Les systèmes CarPlay sont également compatibles. Et d’autres écouteurs ou casques audio que ceux de la firme à la pomme fonctionnent avec Apple Music Voice parfaitement.

Un cheval de Troie pour attirer les jeunes

Si, sur l’autel de l’économie de quelques dizaines d’euros par an, on peut se satisfaire d’Apple Music Voice, force est de constater que sa pratique peut devenir contraignante. Après plusieurs jours d’essai, prononcer « Siri » à qui mieux mieux finit par devenir lassant. Et de leur côté, les consommateurs de musique pointilleux sur leurs requêtes risquent de ne pas adhérer au fait qu’un assistant vocal puisse en partie se substituer à leurs recherches.

Reste pour le public une offre économique, sans publicité, avec un catalogue pléthorique. Et pour Apple, un beau cheval de Troie pour toucher les plus jeunes utilisateurs d’iPhone, et peut-être les guider pas à pas vers Apple Music, mais aussi dans l’écosystème des produits de la firme de Cupertino.


C’est l’assistant d’Apple qui est aux platines. « Dis Siri, lance une playlist pour cuisiner ». « Dis Siri, joue Le dernier jour du disco de Juliette Armanet ». « Dis Siri, joue Virgin Radio »… Avec le nouveau service de streaming Apple Music Voice, inutile d’essayer d’utiliser son index sur l’écran de son iPhone (ou iPad) pour lancer la lecture d’un morceau. Il faut donner de la voix.

Tel est le concept de cette déclinaison low cost d’Apple Music, qui, avec son abonnement à 4,99 euros par mois, permet quand même de réaliser une économie de 60 euros par an par rapport au service musical historique d’Apple. Pour autant, Apple Music Voice joue-t-il une version dégradée de son aîné ? Oui et non.

Des playlists pour entrer dans le mood

Pour peu qu’il possède un iPhone (clé d’entrée pour accéder à une bibliothèque de 75 millions de titres), l’utilisateur peut trouver tout ce qu’il désire. Il suffit de le demander. Outre un iPhone (ou un iPad), l’opération peut s’effectuer directement à la voix depuis des enceintes HomePod ou HomePod mini, mais aussi depuis le boîtier AppleTV (avec sa télécommande qui possède un micro).

Sans dire combien, Apple affirme avoir créé de nouvelles playlists pour son service. Autant de « moods », comme « Bonne humeur », « Réviser en rythme », « Moment calme », ou « L’évolution black music ». L’occasion d’ambiancer un moment bien particulier. Et de découvrir des titres. Les morceaux s’enchaînent, mais si l’on veut en changer, il faut le demander à Siri («Dis Siri, passe au morceau suivant »), où appuyer sur la touche Skip sur l’écran de son terminal mobile. Si l’on consulte le détail de la playlist choisie sur l’écran de son iPhone, l’activation d’un titre de la pointe de l’index n’en lance que la lecture d’un extrait. Un peu déstabilisant…

Migrer vers Apple Music

C’est d’ailleurs là une constante : si avec Apple Music Voice on peut faire des recherches sur son iPhone, comme dans la discographie d’un artiste, il est impossible de lancer la lecture d’un album ou celle d’un morceau en particulier avec le doigt.

La manœuvre appelle systématiquement l’affichage d’un écran : « Utilisez Siri pour écouter de la musique grâce à votre abonnement ». Ecran en bas duquel la mention « Mettre à niveau vers Apple Music » n’a pas été oubliée…

Impossible de constituer ses propres playlists

Véritable écueil : il est impossible de se constituer une playlist avec Apple Music Voice. Ce n’est évidemment pas une lacune, mais un privilège réservé aux utilisateurs d’Apple Music, deux fois plus cher. Mais c’est frustrant. De même, Apple Music Voice ne permet pas la lecture de titres « lossless » (non compressés) ou en Audio spatial, deux services que rend, par contre, Apple Music. A la limite, on peut s’en passer.

Par contre, et comme nous l’avons constaté, le service fonctionne avec des enceintes compatibles AirPlay 2. Nous n’avons eu aucune difficulté à lancer des écoutes sur nos enceintes Sonos, par exemple. Les systèmes CarPlay sont également compatibles. Et d’autres écouteurs ou casques audio que ceux de la firme à la pomme fonctionnent avec Apple Music Voice parfaitement.

Un cheval de Troie pour attirer les jeunes

Si, sur l’autel de l’économie de quelques dizaines d’euros par an, on peut se satisfaire d’Apple Music Voice, force est de constater que sa pratique peut devenir contraignante. Après plusieurs jours d’essai, prononcer « Siri » à qui mieux mieux finit par devenir lassant. Et de leur côté, les consommateurs de musique pointilleux sur leurs requêtes risquent de ne pas adhérer au fait qu’un assistant vocal puisse en partie se substituer à leurs recherches.

Reste pour le public une offre économique, sans publicité, avec un catalogue pléthorique. Et pour Apple, un beau cheval de Troie pour toucher les plus jeunes utilisateurs d’iPhone, et peut-être les guider pas à pas vers Apple Music, mais aussi dans l’écosystème des produits de la firme de Cupertino.

C’est l’assistant d’Apple qui est aux platines. « Dis Siri, lance une playlist pour cuisiner ». « Dis Siri, joue Le dernier jour du disco de Juliette Armanet ». « Dis Siri, joue Virgin Radio »… Avec le nouveau service de streaming Apple Music Voice, inutile d’essayer d’utiliser son index sur l’écran de son iPhone (ou iPad) pour lancer la lecture d’un morceau. Il faut donner de la voix.

Tel est le concept de cette déclinaison low cost d’Apple Music, qui, avec son abonnement à 4,99 euros par mois, permet quand même de réaliser une économie de 60 euros par an par rapport au service musical historique d’Apple. Pour autant, Apple Music Voice joue-t-il une version dégradée de son aîné ? Oui et non.

Des playlists pour entrer dans le mood

Pour peu qu’il possède un iPhone (clé d’entrée pour accéder à une bibliothèque de 75 millions de titres), l’utilisateur peut trouver tout ce qu’il désire. Il suffit de le demander. Outre un iPhone (ou un iPad), l’opération peut s’effectuer directement à la voix depuis des enceintes HomePod ou HomePod mini, mais aussi depuis le boîtier AppleTV (avec sa télécommande qui possède un micro).

Sans dire combien, Apple affirme avoir créé de nouvelles playlists pour son service. Autant de « moods », comme « Bonne humeur », « Réviser en rythme », « Moment calme », ou « L’évolution black music ». L’occasion d’ambiancer un moment bien particulier. Et de découvrir des titres. Les morceaux s’enchaînent, mais si l’on veut en changer, il faut le demander à Siri («Dis Siri, passe au morceau suivant »), où appuyer sur la touche Skip sur l’écran de son terminal mobile. Si l’on consulte le détail de la playlist choisie sur l’écran de son iPhone, l’activation d’un titre de la pointe de l’index n’en lance que la lecture d’un extrait. Un peu déstabilisant…

Migrer vers Apple Music

C’est d’ailleurs là une constante : si avec Apple Music Voice on peut faire des recherches sur son iPhone, comme dans la discographie d’un artiste, il est impossible de lancer la lecture d’un album ou celle d’un morceau en particulier avec le doigt.

La manœuvre appelle systématiquement l’affichage d’un écran : « Utilisez Siri pour écouter de la musique grâce à votre abonnement ». Ecran en bas duquel la mention « Mettre à niveau vers Apple Music » n’a pas été oubliée…

Impossible de constituer ses propres playlists

Véritable écueil : il est impossible de se constituer une playlist avec Apple Music Voice. Ce n’est évidemment pas une lacune, mais un privilège réservé aux utilisateurs d’Apple Music, deux fois plus cher. Mais c’est frustrant. De même, Apple Music Voice ne permet pas la lecture de titres « lossless » (non compressés) ou en Audio spatial, deux services que rend, par contre, Apple Music. A la limite, on peut s’en passer.

Par contre, et comme nous l’avons constaté, le service fonctionne avec des enceintes compatibles AirPlay 2. Nous n’avons eu aucune difficulté à lancer des écoutes sur nos enceintes Sonos, par exemple. Les systèmes CarPlay sont également compatibles. Et d’autres écouteurs ou casques audio que ceux de la firme à la pomme fonctionnent avec Apple Music Voice parfaitement.

Un cheval de Troie pour attirer les jeunes

Si, sur l’autel de l’économie de quelques dizaines d’euros par an, on peut se satisfaire d’Apple Music Voice, force est de constater que sa pratique peut devenir contraignante. Après plusieurs jours d’essai, prononcer « Siri » à qui mieux mieux finit par devenir lassant. Et de leur côté, les consommateurs de musique pointilleux sur leurs requêtes risquent de ne pas adhérer au fait qu’un assistant vocal puisse en partie se substituer à leurs recherches.

Reste pour le public une offre économique, sans publicité, avec un catalogue pléthorique. Et pour Apple, un beau cheval de Troie pour toucher les plus jeunes utilisateurs d’iPhone, et peut-être les guider pas à pas vers Apple Music, mais aussi dans l’écosystème des produits de la firme de Cupertino.