Un live peut en cacher un autre.

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«Mr Macron a remarqué un changement dans le comportement de Mr Poutine au téléphone au cours de la pandémie», écrit le Wall Street Journal, avec un conseiller de Macron disant de Poutine: «Il avait tendance à tourner en rond, réécrivant l'histoire».

Un nouvel hôpital de campagne russe a récemment été installé près de Belgorod, selon des images satellite de Maxar. C'est à 20 km de la frontière ukrainienne.

En plus de l'hôpital de campagne, de nombreuses vidéos montrent des tanks russes à proximité de Belgorod (certaines ont été géolocalisées grâce à Google Maps/Yandex). Kharkiv, la 2e plus grande ville d'Ukraine (2 millions d'habitants zone métro), est à moins de 80 km.

La press secretary vient de faire le point. Sans surprise, après que ce Biden a qualifié de «début d'invasion» russe, son potentiel sommet avec Poutine n'est «plus d'actualité». Selon Jen Psaki, les détails auraient dus être finalisés lors de la rencontre Blinken-Lavrov, qui vient d'être annulée car la Russie a «fermé la porte» à la diplomatie.

Le secrétaire d'Etat américain vient d'annoncer que sa rencontre avec Lavrov prévue jeudi à la condition que la Russie n'envahisse pas l'Ukraine est annulée. «Avec le début de l'invasion, cela n'avait pas de sens», dit Blinken, qui précise que les alliés ont été consultés et sont tous d'accord.

C’est une interview qui fait couler beaucoup d’encre. Dans l’émission une émission de radio, mardi, Donald Trump a qualifié la stratégie de Poutine de reconnaître l’indépendance des territoires séparatistes, puis d’y envoyer l’armée de « génie » et de coup « astucieux ». Mais en écoutant son ton et sa formulation, il semble que l’ex-président américain ironise quand il dit que les tanks russes vont « maintenir la paix, alright » (proche dans l’esprit en VF de « mais bien sûr »).

Les principes de «la Charte des Nations Unies ne sont pas un menu à la carte» et la Russie doit «les appliquer tous» à l'égard de l'Ukraine, a affirmé mardi le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, dans une vive critique à l'égard du Kremlin. «Ils ne peuvent pas être appliqués de manière sélective». «Les États membres les ont tous acceptés et ils doivent tous les appliquer», a-t-il insisté en réaffirmant que la reconnaissance par Moscou d'une «soi-disante indépendance» de zones séparatistes était «une violation de l'intégrité territoriale et de la souveraineté de l'Ukraine».

«Aujourd'hui, il n'y a pas besoin de mobilisation générale», déclare le président ukrainien. En revanche, face à la menace russe et des séparatistes au Donbas, il vient de signer un décret «sur l'appel des réservistes pour une période spéciale». Il précise qu'il s'agit une uniquement de la réserve opérationnelle ukrainienne.

«J’espère que la diplomatie reste de vigueur », a insisté le président américain.

Pour ce faire, les Etats-Unis vont continuer à fournir des armes « défensives » à l’Ukraine. Le président américain a également autorisé le redéploiement de troupes américaines déjà positionnées en Europe dans les pays baltes, à savoir l'Estonie, la Lettonie et la Lituanie.

«Nous mettons en place de vastes sanctions sur la dette souveraine russe. Cela signifie que nous coupons le gouvernement russe du financement occidental. Ils ne peuvent plus lever de fonds à l’Ouest », a assuré le président.

On espère qu'il aura moins de retard que Jean-Yves Le Drian cette après-midi