AutoEssai Opel Astra Sportstourer: Opération réussie

Essai Opel Astra Sportstourer: Opération réussie

AutoSi les SUV conquièrent toujours un peu plus de place dans le cœur des familles, la carrosserie break reste néanmoins très importante en Allemagne, patrie de cette Astra break. Pour la première fois, le break Astra existe aussi en hybride.
Pour la première fois, l'Opel Astra Sportstourer existe aussi en hybride.
Pour la première fois, l'Opel Astra Sportstourer existe aussi en hybride. - DR / DR
Stéphane Lémeret

Stéphane Lémeret

Malgré la multiplication de l’offre de SUV, impossible pour Opel de ne pas proposer de déclinaison break de son Astra tant le modèle connait toujours un beau succès. D’autant que le nouveau modèle a pu être réalisé à moindres coûts : il partage la majeure partie de ses composants avec la berline, dont il est une parfaite copie jusqu’aux portières arrière. Les feux arrière sont également identiques, ce qui réduit les coûts de production. Le tout est intégré de manière élégante et dynamique, avec notamment ce becquet proéminent qui coiffe la lunette arrière.

A bord

La longueur totale atteint 4,64 m, ce qui permet de libérer un généreux coffre de 608 litres sur les versions essence et diesel, 548 sur cette version hybride où la batterie a pris place sous le plancher. En repliant les dossiers de la banquette en trois parties, on obtient 1.457 litres et 1,85 m de longueur utile derrière les sièges avant ! Pratique. Dommage en revanche que l’allongement de 5,7 cm de l’empattement ne profite pas vraiment aux jambes des occupants arrière. L’espace est correct, sans plus.

Le meuble de bord est caractérisé par son double écran Pure Panel pour l’ensemble des paramétrages, secondé de touches de raccourcis sur le tablier et le volant. Le tout, avec une qualité de fabrication soignée. Côté équipements, l’Allemande puise tout ce qu’il y a de meilleur dans la banque d’organes de sa maison-mère Stellantis pour proposer une dotation ultra-complète : aide à la conduite active, freinage d’urgence automatique, multimédia connecté avec Carplay et Android Auto sans fil, etc. Et comme toujours chez Opel, les sièges validés par l’organisme allemand de la santé du dos (AGR) assurent un maintien et un confort parfaits, et le volant chauffant est de la partie !

Sur la route

L’offre moteur se compose des blocs essence 110 et 130 ch, et diesel 130 ch. A ceux-là s’ajoutent deux motorisations hybrides rechargeables de 180 ou 225 ch. La plus modeste de ces dernières associe un moteur 1.6l essence de 150 ch à un moteur électrique de 110 ch. C’est sur celui-ci que démarre la voiture par défaut, en mode tout électrique durant une cinquantaine de kilomètres – réalistes - promis par la batterie. Le mode Hybride permet d’alterner la répartition entre les deux moteurs pour optimiser la consommation, tandis que le mode Sport permettra de disposer en permanence des 180 ch de puissance combinée. Dans tous les cas, l’Astra montre beaucoup de douceur sur la route, et affiche un bon niveau de confort malgré les grandes jantes de 18 pouces de notre exemplaire d’essai. De plus, l’insonorisation est toujours excellente, même lorsque le moteur essence intervient, toujours avec beaucoup de douceur et de discrétion. Quant à la consommation, elle dépendra bien sûr de vos habitudes d’utilisation et de votre assiduité à recharger la batterie, mais Opel annonce 1,1 l/100km en WLTP mixte, soit 26 gr CO2/km.

Budget et conclusion

De cet essai, nous retiendrons un habitacle cosy, bien construit et technologique. Mais surtout, l’agrément et la douceur de l’hybridation. Le prix définitif de l’Opel Astra Sportstourer hybride 180 ch n’a pas encore été dévoilé mais il devrait avoisiner les 37.750 €, soit 1.500 € de plus que la berline.

SUV

Malgré la multiplication de l’offre de SUV, impossible pour Opel de ne pas proposer de déclinaison break de son Astra tant le modèle connait toujours un beau succès. D’autant que le nouveau modèle a pu être réalisé à moindres coûts : il partage la majeure partie de ses composants avec la berline, dont il est une parfaite copie jusqu’aux portières arrière. Les feux arrière sont également identiques, ce qui réduit les coûts de production. Le tout est intégré de manière élégante et dynamique, avec notamment ce becquet proéminent qui coiffe la lunette arrière.

A bord

La longueur totale atteint 4,64 m, ce qui permet de libérer un généreux coffre de 608 litres sur les versions essence et diesel, 548 sur cette version hybride où la batterie a pris place sous le plancher. En repliant les dossiers de la banquette en trois parties, on obtient 1.457 litres et 1,85 m de longueur utile derrière les sièges avant ! Pratique. Dommage en revanche que l’allongement de 5,7 cm de l’empattement ne profite pas vraiment aux jambes des occupants arrière. L’espace est correct, sans plus.

Le meuble de bord est caractérisé par son double écran Pure Panel pour l’ensemble des paramétrages, secondé de touches de raccourcis sur le tablier et le volant. Le tout, avec une qualité de fabrication soignée. Côté équipements, l’Allemande puise tout ce qu’il y a de meilleur dans la banque d’organes de sa maison-mère Stellantis pour proposer une dotation ultra-complète : aide à la conduite active, freinage d’urgence automatique, multimédia connecté avec Carplay et Android Auto sans fil, etc. Et comme toujours chez Opel, les sièges validés par l’organisme allemand de la santé du dos (AGR) assurent un maintien et un confort parfaits, et le volant chauffant est de la partie !

Sur la route

L’offre moteur se compose des blocs essence 110 et 130 ch, et diesel 130 ch. A ceux-là s’ajoutent deux motorisations hybrides rechargeables de 180 ou 225 ch. La plus modeste de ces dernières associe un moteur 1.6l essence de 150 ch à un moteur électrique de 110 ch. C’est sur celui-ci que démarre la voiture par défaut, en mode tout électrique durant une cinquantaine de kilomètres – réalistes - promis par la batterie. Le mode Hybride permet d’alterner la répartition entre les deux moteurs pour optimiser la consommation, tandis que le mode Sport permettra de disposer en permanence des 180 ch de puissance combinée. Dans tous les cas, l’Astra montre beaucoup de douceur sur la route, et affiche un bon niveau de confort malgré les grandes jantes de 18 pouces de notre exemplaire d’essai. De plus, l’insonorisation est toujours excellente, même lorsque le moteur essence intervient, toujours avec beaucoup de douceur et de discrétion. Quant à la consommation, elle dépendra bien sûr de vos habitudes d’utilisation et de votre assiduité à recharger la batterie, mais Opel annonce 1,1 l/100km en WLTP mixte, soit 26 gr CO2/km.

Budget et conclusion

De cet essai, nous retiendrons un habitacle cosy, bien construit et technologique. Mais surtout, l’agrément et la douceur de l’hybridation. Le prix définitif de l’Opel Astra Sportstourer hybride 180 ch n’a pas encore été dévoilé mais il devrait avoisiner les 37.750 €, soit 1.500 € de plus que la berline.

Opel

Malgré la multiplication de l’offre de SUV, impossible pour Opel de ne pas proposer de déclinaison break de son Astra tant le modèle connait toujours un beau succès. D’autant que le nouveau modèle a pu être réalisé à moindres coûts : il partage la majeure partie de ses composants avec la berline, dont il est une parfaite copie jusqu’aux portières arrière. Les feux arrière sont également identiques, ce qui réduit les coûts de production. Le tout est intégré de manière élégante et dynamique, avec notamment ce becquet proéminent qui coiffe la lunette arrière.

A bord

La longueur totale atteint 4,64 m, ce qui permet de libérer un généreux coffre de 608 litres sur les versions essence et diesel, 548 sur cette version hybride où la batterie a pris place sous le plancher. En repliant les dossiers de la banquette en trois parties, on obtient 1.457 litres et 1,85 m de longueur utile derrière les sièges avant ! Pratique. Dommage en revanche que l’allongement de 5,7 cm de l’empattement ne profite pas vraiment aux jambes des occupants arrière. L’espace est correct, sans plus.

Le meuble de bord est caractérisé par son double écran Pure Panel pour l’ensemble des paramétrages, secondé de touches de raccourcis sur le tablier et le volant. Le tout, avec une qualité de fabrication soignée. Côté équipements, l’Allemande puise tout ce qu’il y a de meilleur dans la banque d’organes de sa maison-mère Stellantis pour proposer une dotation ultra-complète : aide à la conduite active, freinage d’urgence automatique, multimédia connecté avec Carplay et Android Auto sans fil, etc. Et comme toujours chez Opel, les sièges validés par l’organisme allemand de la santé du dos (AGR) assurent un maintien et un confort parfaits, et le volant chauffant est de la partie !

Sur la route

L’offre moteur se compose des blocs essence 110 et 130 ch, et diesel 130 ch. A ceux-là s’ajoutent deux motorisations hybrides rechargeables de 180 ou 225 ch. La plus modeste de ces dernières associe un moteur 1.6l essence de 150 ch à un moteur électrique de 110 ch. C’est sur celui-ci que démarre la voiture par défaut, en mode tout électrique durant une cinquantaine de kilomètres – réalistes - promis par la batterie. Le mode Hybride permet d’alterner la répartition entre les deux moteurs pour optimiser la consommation, tandis que le mode Sport permettra de disposer en permanence des 180 ch de puissance combinée. Dans tous les cas, l’Astra montre beaucoup de douceur sur la route, et affiche un bon niveau de confort malgré les grandes jantes de 18 pouces de notre exemplaire d’essai. De plus, l’insonorisation est toujours excellente, même lorsque le moteur essence intervient, toujours avec beaucoup de douceur et de discrétion. Quant à la consommation, elle dépendra bien sûr de vos habitudes d’utilisation et de votre assiduité à recharger la batterie, mais Opel annonce 1,1 l/100km en WLTP mixte, soit 26 gr CO2/km.

Budget et conclusion

De cet essai, nous retiendrons un habitacle cosy, bien construit et technologique. Mais surtout, l’agrément et la douceur de l’hybridation. Le prix définitif de l’Opel Astra Sportstourer hybride 180 ch n’a pas encore été dévoilé mais il devrait avoisiner les 37.750 €, soit 1.500 € de plus que la berline.


Pour la première fois, l'Opel Astra Sportstourer existe aussi en hybride.
Pour la première fois, l'Opel Astra Sportstourer existe aussi en hybride. - DR

Malgré la multiplication de l’offre de SUV, impossible pour Opel de ne pas proposer de déclinaison break de son Astra tant le modèle connait toujours un beau succès. D’autant que le nouveau modèle a pu être réalisé à moindres coûts : il partage la majeure partie de ses composants avec la berline, dont il est une parfaite copie jusqu’aux portières arrière. Les feux arrière sont également identiques, ce qui réduit les coûts de production. Le tout est intégré de manière élégante et dynamique, avec notamment ce becquet proéminent qui coiffe la lunette arrière.

A bord

La longueur totale atteint 4,64 m, ce qui permet de libérer un généreux coffre de 608 litres sur les versions essence et diesel, 548 sur cette version hybride où la batterie a pris place sous le plancher. En repliant les dossiers de la banquette en trois parties, on obtient 1.457 litres et 1,85 m de longueur utile derrière les sièges avant ! Pratique. Dommage en revanche que l’allongement de 5,7 cm de l’empattement ne profite pas vraiment aux jambes des occupants arrière. L’espace est correct, sans plus.

Le meuble de bord est caractérisé par son double écran Pure Panel pour l’ensemble des paramétrages, secondé de touches de raccourcis sur le tablier et le volant. Le tout, avec une qualité de fabrication soignée. Côté équipements, l’Allemande puise tout ce qu’il y a de meilleur dans la banque d’organes de sa maison-mère Stellantis pour proposer une dotation ultra-complète : aide à la conduite active, freinage d’urgence automatique, multimédia connecté avec Carplay et Android Auto sans fil, etc. Et comme toujours chez Opel, les sièges validés par l’organisme allemand de la santé du dos (AGR) assurent un maintien et un confort parfaits, et le volant chauffant est de la partie !

Sur la route

L’offre moteur se compose des blocs essence 110 et 130 ch, et diesel 130 ch. A ceux-là s’ajoutent deux motorisations hybrides rechargeables de 180 ou 225 ch. La plus modeste de ces dernières associe un moteur 1.6l essence de 150 ch à un moteur électrique de 110 ch. C’est sur celui-ci que démarre la voiture par défaut, en mode tout électrique durant une cinquantaine de kilomètres – réalistes - promis par la batterie. Le mode Hybride permet d’alterner la répartition entre les deux moteurs pour optimiser la consommation, tandis que le mode Sport permettra de disposer en permanence des 180 ch de puissance combinée. Dans tous les cas, l’Astra montre beaucoup de douceur sur la route, et affiche un bon niveau de confort malgré les grandes jantes de 18 pouces de notre exemplaire d’essai. De plus, l’insonorisation est toujours excellente, même lorsque le moteur essence intervient, toujours avec beaucoup de douceur et de discrétion. Quant à la consommation, elle dépendra bien sûr de vos habitudes d’utilisation et de votre assiduité à recharger la batterie, mais Opel annonce 1,1 l/100km en WLTP mixte, soit 26 gr CO2/km.

Budget et conclusion

De cet essai, nous retiendrons un habitacle cosy, bien construit et technologique. Mais surtout, l’agrément et la douceur de l’hybridation. Le prix définitif de l’Opel Astra Sportstourer hybride 180 ch n’a pas encore été dévoilé mais il devrait avoisiner les 37.750 €, soit 1.500 € de plus que la berline.


Malgré la multiplication de l’offre de SUV, impossible pour Opel de ne pas proposer de déclinaison break de son Astra tant le modèle connait toujours un beau succès. D’autant que le nouveau modèle a pu être réalisé à moindres coûts : il partage la majeure partie de ses composants avec la berline, dont il est une parfaite copie jusqu’aux portières arrière. Les feux arrière sont également identiques, ce qui réduit les coûts de production. Le tout est intégré de manière élégante et dynamique, avec notamment ce becquet proéminent qui coiffe la lunette arrière.

A bord

La longueur totale atteint 4,64 m, ce qui permet de libérer un généreux coffre de 608 litres sur les versions essence et diesel, 548 sur cette version hybride où la batterie a pris place sous le plancher. En repliant les dossiers de la banquette en trois parties, on obtient 1.457 litres et 1,85 m de longueur utile derrière les sièges avant ! Pratique. Dommage en revanche que l’allongement de 5,7 cm de l’empattement ne profite pas vraiment aux jambes des occupants arrière. L’espace est correct, sans plus.

Le meuble de bord est caractérisé par son double écran Pure Panel pour l’ensemble des paramétrages, secondé de touches de raccourcis sur le tablier et le volant. Le tout, avec une qualité de fabrication soignée. Côté équipements, l’Allemande puise tout ce qu’il y a de meilleur dans la banque d’organes de sa maison-mère Stellantis pour proposer une dotation ultra-complète : aide à la conduite active, freinage d’urgence automatique, multimédia connecté avec Carplay et Android Auto sans fil, etc. Et comme toujours chez Opel, les sièges validés par l’organisme allemand de la santé du dos (AGR) assurent un maintien et un confort parfaits, et le volant chauffant est de la partie !

Sur la route

L’offre moteur se compose des blocs essence 110 et 130 ch, et diesel 130 ch. A ceux-là s’ajoutent deux motorisations hybrides rechargeables de 180 ou 225 ch. La plus modeste de ces dernières associe un moteur 1.6l essence de 150 ch à un moteur électrique de 110 ch. C’est sur celui-ci que démarre la voiture par défaut, en mode tout électrique durant une cinquantaine de kilomètres – réalistes - promis par la batterie. Le mode Hybride permet d’alterner la répartition entre les deux moteurs pour optimiser la consommation, tandis que le mode Sport permettra de disposer en permanence des 180 ch de puissance combinée. Dans tous les cas, l’Astra montre beaucoup de douceur sur la route, et affiche un bon niveau de confort malgré les grandes jantes de 18 pouces de notre exemplaire d’essai. De plus, l’insonorisation est toujours excellente, même lorsque le moteur essence intervient, toujours avec beaucoup de douceur et de discrétion. Quant à la consommation, elle dépendra bien sûr de vos habitudes d’utilisation et de votre assiduité à recharger la batterie, mais Opel annonce 1,1 l/100km en WLTP mixte, soit 26 gr CO2/km.

Budget et conclusion

De cet essai, nous retiendrons un habitacle cosy, bien construit et technologique. Mais surtout, l’agrément et la douceur de l’hybridation. Le prix définitif de l’Opel Astra Sportstourer hybride 180 ch n’a pas encore été dévoilé mais il devrait avoisiner les 37.750 €, soit 1.500 € de plus que la berline.

hybride

Malgré la multiplication de l’offre de SUV, impossible pour Opel de ne pas proposer de déclinaison break de son Astra tant le modèle connait toujours un beau succès. D’autant que le nouveau modèle a pu être réalisé à moindres coûts : il partage la majeure partie de ses composants avec la berline, dont il est une parfaite copie jusqu’aux portières arrière. Les feux arrière sont également identiques, ce qui réduit les coûts de production. Le tout est intégré de manière élégante et dynamique, avec notamment ce becquet proéminent qui coiffe la lunette arrière.

A bord

La longueur totale atteint 4,64 m, ce qui permet de libérer un généreux coffre de 608 litres sur les versions essence et diesel, 548 sur cette version hybride où la batterie a pris place sous le plancher. En repliant les dossiers de la banquette en trois parties, on obtient 1.457 litres et 1,85 m de longueur utile derrière les sièges avant ! Pratique. Dommage en revanche que l’allongement de 5,7 cm de l’empattement ne profite pas vraiment aux jambes des occupants arrière. L’espace est correct, sans plus.

Le meuble de bord est caractérisé par son double écran Pure Panel pour l’ensemble des paramétrages, secondé de touches de raccourcis sur le tablier et le volant. Le tout, avec une qualité de fabrication soignée. Côté équipements, l’Allemande puise tout ce qu’il y a de meilleur dans la banque d’organes de sa maison-mère Stellantis pour proposer une dotation ultra-complète : aide à la conduite active, freinage d’urgence automatique, multimédia connecté avec Carplay et Android Auto sans fil, etc. Et comme toujours chez Opel, les sièges validés par l’organisme allemand de la santé du dos (AGR) assurent un maintien et un confort parfaits, et le volant chauffant est de la partie !

Sur la route

L’offre moteur se compose des blocs essence 110 et 130 ch, et diesel 130 ch. A ceux-là s’ajoutent deux motorisations hybrides rechargeables de 180 ou 225 ch. La plus modeste de ces dernières associe un moteur 1.6l essence de 150 ch à un moteur électrique de 110 ch. C’est sur celui-ci que démarre la voiture par défaut, en mode tout électrique durant une cinquantaine de kilomètres – réalistes - promis par la batterie. Le mode Hybride permet d’alterner la répartition entre les deux moteurs pour optimiser la consommation, tandis que le mode Sport permettra de disposer en permanence des 180 ch de puissance combinée. Dans tous les cas, l’Astra montre beaucoup de douceur sur la route, et affiche un bon niveau de confort malgré les grandes jantes de 18 pouces de notre exemplaire d’essai. De plus, l’insonorisation est toujours excellente, même lorsque le moteur essence intervient, toujours avec beaucoup de douceur et de discrétion. Quant à la consommation, elle dépendra bien sûr de vos habitudes d’utilisation et de votre assiduité à recharger la batterie, mais Opel annonce 1,1 l/100km en WLTP mixte, soit 26 gr CO2/km.

Budget et conclusion

De cet essai, nous retiendrons un habitacle cosy, bien construit et technologique. Mais surtout, l’agrément et la douceur de l’hybridation. Le prix définitif de l’Opel Astra Sportstourer hybride 180 ch n’a pas encore été dévoilé mais il devrait avoisiner les 37.750 €, soit 1.500 € de plus que la berline.


Malgré la multiplication de l’offre de SUV, impossible pour Opel de ne pas proposer de déclinaison break de son Astra tant le modèle connait toujours un beau succès. D’autant que le nouveau modèle a pu être réalisé à moindres coûts : il partage la majeure partie de ses composants avec la berline, dont il est une parfaite copie jusqu’aux portières arrière. Les feux arrière sont également identiques, ce qui réduit les coûts de production. Le tout est intégré de manière élégante et dynamique, avec notamment ce becquet proéminent qui coiffe la lunette arrière.

A bord

La longueur totale atteint 4,64 m, ce qui permet de libérer un généreux coffre de 608 litres sur les versions essence et diesel, 548 sur cette version hybride où la batterie a pris place sous le plancher. En repliant les dossiers de la banquette en trois parties, on obtient 1.457 litres et 1,85 m de longueur utile derrière les sièges avant ! Pratique. Dommage en revanche que l’allongement de 5,7 cm de l’empattement ne profite pas vraiment aux jambes des occupants arrière. L’espace est correct, sans plus.

Le meuble de bord est caractérisé par son double écran Pure Panel pour l’ensemble des paramétrages, secondé de touches de raccourcis sur le tablier et le volant. Le tout, avec une qualité de fabrication soignée. Côté équipements, l’Allemande puise tout ce qu’il y a de meilleur dans la banque d’organes de sa maison-mère Stellantis pour proposer une dotation ultra-complète : aide à la conduite active, freinage d’urgence automatique, multimédia connecté avec Carplay et Android Auto sans fil, etc. Et comme toujours chez Opel, les sièges validés par l’organisme allemand de la santé du dos (AGR) assurent un maintien et un confort parfaits, et le volant chauffant est de la partie !

Sur la route

L’offre moteur se compose des blocs essence 110 et 130 ch, et diesel 130 ch. A ceux-là s’ajoutent deux motorisations hybrides rechargeables de 180 ou 225 ch. La plus modeste de ces dernières associe un moteur 1.6l essence de 150 ch à un moteur électrique de 110 ch. C’est sur celui-ci que démarre la voiture par défaut, en mode tout électrique durant une cinquantaine de kilomètres – réalistes - promis par la batterie. Le mode Hybride permet d’alterner la répartition entre les deux moteurs pour optimiser la consommation, tandis que le mode Sport permettra de disposer en permanence des 180 ch de puissance combinée. Dans tous les cas, l’Astra montre beaucoup de douceur sur la route, et affiche un bon niveau de confort malgré les grandes jantes de 18 pouces de notre exemplaire d’essai. De plus, l’insonorisation est toujours excellente, même lorsque le moteur essence intervient, toujours avec beaucoup de douceur et de discrétion. Quant à la consommation, elle dépendra bien sûr de vos habitudes d’utilisation et de votre assiduité à recharger la batterie, mais Opel annonce 1,1 l/100km en WLTP mixte, soit 26 gr CO2/km.

Budget et conclusion

De cet essai, nous retiendrons un habitacle cosy, bien construit et technologique. Mais surtout, l’agrément et la douceur de l’hybridation. Le prix définitif de l’Opel Astra Sportstourer hybride 180 ch n’a pas encore été dévoilé mais il devrait avoisiner les 37.750 €, soit 1.500 € de plus que la berline.

Opel

Malgré la multiplication de l’offre de SUV, impossible pour Opel de ne pas proposer de déclinaison break de son Astra tant le modèle connait toujours un beau succès. D’autant que le nouveau modèle a pu être réalisé à moindres coûts : il partage la majeure partie de ses composants avec la berline, dont il est une parfaite copie jusqu’aux portières arrière. Les feux arrière sont également identiques, ce qui réduit les coûts de production. Le tout est intégré de manière élégante et dynamique, avec notamment ce becquet proéminent qui coiffe la lunette arrière.

A bord

La longueur totale atteint 4,64 m, ce qui permet de libérer un généreux coffre de 608 litres sur les versions essence et diesel, 548 sur cette version hybride où la batterie a pris place sous le plancher. En repliant les dossiers de la banquette en trois parties, on obtient 1.457 litres et 1,85 m de longueur utile derrière les sièges avant ! Pratique. Dommage en revanche que l’allongement de 5,7 cm de l’empattement ne profite pas vraiment aux jambes des occupants arrière. L’espace est correct, sans plus.

Le meuble de bord est caractérisé par son double écran Pure Panel pour l’ensemble des paramétrages, secondé de touches de raccourcis sur le tablier et le volant. Le tout, avec une qualité de fabrication soignée. Côté équipements, l’Allemande puise tout ce qu’il y a de meilleur dans la banque d’organes de sa maison-mère Stellantis pour proposer une dotation ultra-complète : aide à la conduite active, freinage d’urgence automatique, multimédia connecté avec Carplay et Android Auto sans fil, etc. Et comme toujours chez Opel, les sièges validés par l’organisme allemand de la santé du dos (AGR) assurent un maintien et un confort parfaits, et le volant chauffant est de la partie !

Sur la route

L’offre moteur se compose des blocs essence 110 et 130 ch, et diesel 130 ch. A ceux-là s’ajoutent deux motorisations hybrides rechargeables de 180 ou 225 ch. La plus modeste de ces dernières associe un moteur 1.6l essence de 150 ch à un moteur électrique de 110 ch. C’est sur celui-ci que démarre la voiture par défaut, en mode tout électrique durant une cinquantaine de kilomètres – réalistes - promis par la batterie. Le mode Hybride permet d’alterner la répartition entre les deux moteurs pour optimiser la consommation, tandis que le mode Sport permettra de disposer en permanence des 180 ch de puissance combinée. Dans tous les cas, l’Astra montre beaucoup de douceur sur la route, et affiche un bon niveau de confort malgré les grandes jantes de 18 pouces de notre exemplaire d’essai. De plus, l’insonorisation est toujours excellente, même lorsque le moteur essence intervient, toujours avec beaucoup de douceur et de discrétion. Quant à la consommation, elle dépendra bien sûr de vos habitudes d’utilisation et de votre assiduité à recharger la batterie, mais Opel annonce 1,1 l/100km en WLTP mixte, soit 26 gr CO2/km.

Budget et conclusion

De cet essai, nous retiendrons un habitacle cosy, bien construit et technologique. Mais surtout, l’agrément et la douceur de l’hybridation. Le prix définitif de l’Opel Astra Sportstourer hybride 180 ch n’a pas encore été dévoilé mais il devrait avoisiner les 37.750 €, soit 1.500 € de plus que la berline.


Pour la première fois, l'Opel Astra Sportstourer existe aussi en hybride.
Pour la première fois, l'Opel Astra Sportstourer existe aussi en hybride. - DR

Malgré la multiplication de l’offre de SUV, impossible pour Opel de ne pas proposer de déclinaison break de son Astra tant le modèle connait toujours un beau succès. D’autant que le nouveau modèle a pu être réalisé à moindres coûts : il partage la majeure partie de ses composants avec la berline, dont il est une parfaite copie jusqu’aux portières arrière. Les feux arrière sont également identiques, ce qui réduit les coûts de production. Le tout est intégré de manière élégante et dynamique, avec notamment ce becquet proéminent qui coiffe la lunette arrière.

A bord

La longueur totale atteint 4,64 m, ce qui permet de libérer un généreux coffre de 608 litres sur les versions essence et diesel, 548 sur cette version hybride où la batterie a pris place sous le plancher. En repliant les dossiers de la banquette en trois parties, on obtient 1.457 litres et 1,85 m de longueur utile derrière les sièges avant ! Pratique. Dommage en revanche que l’allongement de 5,7 cm de l’empattement ne profite pas vraiment aux jambes des occupants arrière. L’espace est correct, sans plus.

Le meuble de bord est caractérisé par son double écran Pure Panel pour l’ensemble des paramétrages, secondé de touches de raccourcis sur le tablier et le volant. Le tout, avec une qualité de fabrication soignée. Côté équipements, l’Allemande puise tout ce qu’il y a de meilleur dans la banque d’organes de sa maison-mère Stellantis pour proposer une dotation ultra-complète : aide à la conduite active, freinage d’urgence automatique, multimédia connecté avec Carplay et Android Auto sans fil, etc. Et comme toujours chez Opel, les sièges validés par l’organisme allemand de la santé du dos (AGR) assurent un maintien et un confort parfaits, et le volant chauffant est de la partie !

Sur la route

L’offre moteur se compose des blocs essence 110 et 130 ch, et diesel 130 ch. A ceux-là s’ajoutent deux motorisations hybrides rechargeables de 180 ou 225 ch. La plus modeste de ces dernières associe un moteur 1.6l essence de 150 ch à un moteur électrique de 110 ch. C’est sur celui-ci que démarre la voiture par défaut, en mode tout électrique durant une cinquantaine de kilomètres – réalistes - promis par la batterie. Le mode Hybride permet d’alterner la répartition entre les deux moteurs pour optimiser la consommation, tandis que le mode Sport permettra de disposer en permanence des 180 ch de puissance combinée. Dans tous les cas, l’Astra montre beaucoup de douceur sur la route, et affiche un bon niveau de confort malgré les grandes jantes de 18 pouces de notre exemplaire d’essai. De plus, l’insonorisation est toujours excellente, même lorsque le moteur essence intervient, toujours avec beaucoup de douceur et de discrétion. Quant à la consommation, elle dépendra bien sûr de vos habitudes d’utilisation et de votre assiduité à recharger la batterie, mais Opel annonce 1,1 l/100km en WLTP mixte, soit 26 gr CO2/km.

Budget et conclusion

De cet essai, nous retiendrons un habitacle cosy, bien construit et technologique. Mais surtout, l’agrément et la douceur de l’hybridation. Le prix définitif de l’Opel Astra Sportstourer hybride 180 ch n’a pas encore été dévoilé mais il devrait avoisiner les 37.750 €, soit 1.500 € de plus que la berline.


Malgré la multiplication de l’offre de SUV, impossible pour Opel de ne pas proposer de déclinaison break de son Astra tant le modèle connait toujours un beau succès. D’autant que le nouveau modèle a pu être réalisé à moindres coûts : il partage la majeure partie de ses composants avec la berline, dont il est une parfaite copie jusqu’aux portières arrière. Les feux arrière sont également identiques, ce qui réduit les coûts de production. Le tout est intégré de manière élégante et dynamique, avec notamment ce becquet proéminent qui coiffe la lunette arrière.

A bord

La longueur totale atteint 4,64 m, ce qui permet de libérer un généreux coffre de 608 litres sur les versions essence et diesel, 548 sur cette version hybride où la batterie a pris place sous le plancher. En repliant les dossiers de la banquette en trois parties, on obtient 1.457 litres et 1,85 m de longueur utile derrière les sièges avant ! Pratique. Dommage en revanche que l’allongement de 5,7 cm de l’empattement ne profite pas vraiment aux jambes des occupants arrière. L’espace est correct, sans plus.

Le meuble de bord est caractérisé par son double écran Pure Panel pour l’ensemble des paramétrages, secondé de touches de raccourcis sur le tablier et le volant. Le tout, avec une qualité de fabrication soignée. Côté équipements, l’Allemande puise tout ce qu’il y a de meilleur dans la banque d’organes de sa maison-mère Stellantis pour proposer une dotation ultra-complète : aide à la conduite active, freinage d’urgence automatique, multimédia connecté avec Carplay et Android Auto sans fil, etc. Et comme toujours chez Opel, les sièges validés par l’organisme allemand de la santé du dos (AGR) assurent un maintien et un confort parfaits, et le volant chauffant est de la partie !

Sur la route

L’offre moteur se compose des blocs essence 110 et 130 ch, et diesel 130 ch. A ceux-là s’ajoutent deux motorisations hybrides rechargeables de 180 ou 225 ch. La plus modeste de ces dernières associe un moteur 1.6l essence de 150 ch à un moteur électrique de 110 ch. C’est sur celui-ci que démarre la voiture par défaut, en mode tout électrique durant une cinquantaine de kilomètres – réalistes - promis par la batterie. Le mode Hybride permet d’alterner la répartition entre les deux moteurs pour optimiser la consommation, tandis que le mode Sport permettra de disposer en permanence des 180 ch de puissance combinée. Dans tous les cas, l’Astra montre beaucoup de douceur sur la route, et affiche un bon niveau de confort malgré les grandes jantes de 18 pouces de notre exemplaire d’essai. De plus, l’insonorisation est toujours excellente, même lorsque le moteur essence intervient, toujours avec beaucoup de douceur et de discrétion. Quant à la consommation, elle dépendra bien sûr de vos habitudes d’utilisation et de votre assiduité à recharger la batterie, mais Opel annonce 1,1 l/100km en WLTP mixte, soit 26 gr CO2/km.

Budget et conclusion

De cet essai, nous retiendrons un habitacle cosy, bien construit et technologique. Mais surtout, l’agrément et la douceur de l’hybridation. Le prix définitif de l’Opel Astra Sportstourer hybride 180 ch n’a pas encore été dévoilé mais il devrait avoisiner les 37.750 €, soit 1.500 € de plus que la berline.

Hybride

Malgré la multiplication de l’offre de SUV, impossible pour Opel de ne pas proposer de déclinaison break de son Astra tant le modèle connait toujours un beau succès. D’autant que le nouveau modèle a pu être réalisé à moindres coûts : il partage la majeure partie de ses composants avec la berline, dont il est une parfaite copie jusqu’aux portières arrière. Les feux arrière sont également identiques, ce qui réduit les coûts de production. Le tout est intégré de manière élégante et dynamique, avec notamment ce becquet proéminent qui coiffe la lunette arrière.

A bord

La longueur totale atteint 4,64 m, ce qui permet de libérer un généreux coffre de 608 litres sur les versions essence et diesel, 548 sur cette version hybride où la batterie a pris place sous le plancher. En repliant les dossiers de la banquette en trois parties, on obtient 1.457 litres et 1,85 m de longueur utile derrière les sièges avant ! Pratique. Dommage en revanche que l’allongement de 5,7 cm de l’empattement ne profite pas vraiment aux jambes des occupants arrière. L’espace est correct, sans plus.

Le meuble de bord est caractérisé par son double écran Pure Panel pour l’ensemble des paramétrages, secondé de touches de raccourcis sur le tablier et le volant. Le tout, avec une qualité de fabrication soignée. Côté équipements, l’Allemande puise tout ce qu’il y a de meilleur dans la banque d’organes de sa maison-mère Stellantis pour proposer une dotation ultra-complète : aide à la conduite active, freinage d’urgence automatique, multimédia connecté avec Carplay et Android Auto sans fil, etc. Et comme toujours chez Opel, les sièges validés par l’organisme allemand de la santé du dos (AGR) assurent un maintien et un confort parfaits, et le volant chauffant est de la partie !

Sur la route

L’offre moteur se compose des blocs essence 110 et 130 ch, et diesel 130 ch. A ceux-là s’ajoutent deux motorisations hybrides rechargeables de 180 ou 225 ch. La plus modeste de ces dernières associe un moteur 1.6l essence de 150 ch à un moteur électrique de 110 ch. C’est sur celui-ci que démarre la voiture par défaut, en mode tout électrique durant une cinquantaine de kilomètres – réalistes - promis par la batterie. Le mode Hybride permet d’alterner la répartition entre les deux moteurs pour optimiser la consommation, tandis que le mode Sport permettra de disposer en permanence des 180 ch de puissance combinée. Dans tous les cas, l’Astra montre beaucoup de douceur sur la route, et affiche un bon niveau de confort malgré les grandes jantes de 18 pouces de notre exemplaire d’essai. De plus, l’insonorisation est toujours excellente, même lorsque le moteur essence intervient, toujours avec beaucoup de douceur et de discrétion. Quant à la consommation, elle dépendra bien sûr de vos habitudes d’utilisation et de votre assiduité à recharger la batterie, mais Opel annonce 1,1 l/100km en WLTP mixte, soit 26 gr CO2/km.

Budget et conclusion

De cet essai, nous retiendrons un habitacle cosy, bien construit et technologique. Mais surtout, l’agrément et la douceur de l’hybridation. Le prix définitif de l’Opel Astra Sportstourer hybride 180 ch n’a pas encore été dévoilé mais il devrait avoisiner les 37.750 €, soit 1.500 € de plus que la berline.


Pour la première fois, l'Opel Astra Sportstourer existe aussi en hybride.
Pour la première fois, l'Opel Astra Sportstourer existe aussi en hybride. - DR

Malgré la multiplication de l’offre de SUV, impossible pour Opel de ne pas proposer de déclinaison break de son Astra tant le modèle connait toujours un beau succès. D’autant que le nouveau modèle a pu être réalisé à moindres coûts : il partage la majeure partie de ses composants avec la berline, dont il est une parfaite copie jusqu’aux portières arrière. Les feux arrière sont également identiques, ce qui réduit les coûts de production. Le tout est intégré de manière élégante et dynamique, avec notamment ce becquet proéminent qui coiffe la lunette arrière.

A bord

La longueur totale atteint 4,64 m, ce qui permet de libérer un généreux coffre de 608 litres sur les versions essence et diesel, 548 sur cette version hybride où la batterie a pris place sous le plancher. En repliant les dossiers de la banquette en trois parties, on obtient 1.457 litres et 1,85 m de longueur utile derrière les sièges avant ! Pratique. Dommage en revanche que l’allongement de 5,7 cm de l’empattement ne profite pas vraiment aux jambes des occupants arrière. L’espace est correct, sans plus.

Le meuble de bord est caractérisé par son double écran Pure Panel pour l’ensemble des paramétrages, secondé de touches de raccourcis sur le tablier et le volant. Le tout, avec une qualité de fabrication soignée. Côté équipements, l’Allemande puise tout ce qu’il y a de meilleur dans la banque d’organes de sa maison-mère Stellantis pour proposer une dotation ultra-complète : aide à la conduite active, freinage d’urgence automatique, multimédia connecté avec Carplay et Android Auto sans fil, etc. Et comme toujours chez Opel, les sièges validés par l’organisme allemand de la santé du dos (AGR) assurent un maintien et un confort parfaits, et le volant chauffant est de la partie !

Sur la route

L’offre moteur se compose des blocs essence 110 et 130 ch, et diesel 130 ch. A ceux-là s’ajoutent deux motorisations hybrides rechargeables de 180 ou 225 ch. La plus modeste de ces dernières associe un moteur 1.6l essence de 150 ch à un moteur électrique de 110 ch. C’est sur celui-ci que démarre la voiture par défaut, en mode tout électrique durant une cinquantaine de kilomètres – réalistes - promis par la batterie. Le mode Hybride permet d’alterner la répartition entre les deux moteurs pour optimiser la consommation, tandis que le mode Sport permettra de disposer en permanence des 180 ch de puissance combinée. Dans tous les cas, l’Astra montre beaucoup de douceur sur la route, et affiche un bon niveau de confort malgré les grandes jantes de 18 pouces de notre exemplaire d’essai. De plus, l’insonorisation est toujours excellente, même lorsque le moteur essence intervient, toujours avec beaucoup de douceur et de discrétion. Quant à la consommation, elle dépendra bien sûr de vos habitudes d’utilisation et de votre assiduité à recharger la batterie, mais Opel annonce 1,1 l/100km en WLTP mixte, soit 26 gr CO2/km.

Budget et conclusion

De cet essai, nous retiendrons un habitacle cosy, bien construit et technologique. Mais surtout, l’agrément et la douceur de l’hybridation. Le prix définitif de l’Opel Astra Sportstourer hybride 180 ch n’a pas encore été dévoilé mais il devrait avoisiner les 37.750 €, soit 1.500 € de plus que la berline.


Malgré la multiplication de l’offre de SUV, impossible pour Opel de ne pas proposer de déclinaison break de son Astra tant le modèle connait toujours un beau succès. D’autant que le nouveau modèle a pu être réalisé à moindres coûts : il partage la majeure partie de ses composants avec la berline, dont il est une parfaite copie jusqu’aux portières arrière. Les feux arrière sont également identiques, ce qui réduit les coûts de production. Le tout est intégré de manière élégante et dynamique, avec notamment ce becquet proéminent qui coiffe la lunette arrière.

A bord

La longueur totale atteint 4,64 m, ce qui permet de libérer un généreux coffre de 608 litres sur les versions essence et diesel, 548 sur cette version hybride où la batterie a pris place sous le plancher. En repliant les dossiers de la banquette en trois parties, on obtient 1.457 litres et 1,85 m de longueur utile derrière les sièges avant ! Pratique. Dommage en revanche que l’allongement de 5,7 cm de l’empattement ne profite pas vraiment aux jambes des occupants arrière. L’espace est correct, sans plus.

Le meuble de bord est caractérisé par son double écran Pure Panel pour l’ensemble des paramétrages, secondé de touches de raccourcis sur le tablier et le volant. Le tout, avec une qualité de fabrication soignée. Côté équipements, l’Allemande puise tout ce qu’il y a de meilleur dans la banque d’organes de sa maison-mère Stellantis pour proposer une dotation ultra-complète : aide à la conduite active, freinage d’urgence automatique, multimédia connecté avec Carplay et Android Auto sans fil, etc. Et comme toujours chez Opel, les sièges validés par l’organisme allemand de la santé du dos (AGR) assurent un maintien et un confort parfaits, et le volant chauffant est de la partie !

Sur la route

L’offre moteur se compose des blocs essence 110 et 130 ch, et diesel 130 ch. A ceux-là s’ajoutent deux motorisations hybrides rechargeables de 180 ou 225 ch. La plus modeste de ces dernières associe un moteur 1.6l essence de 150 ch à un moteur électrique de 110 ch. C’est sur celui-ci que démarre la voiture par défaut, en mode tout électrique durant une cinquantaine de kilomètres – réalistes - promis par la batterie. Le mode Hybride permet d’alterner la répartition entre les deux moteurs pour optimiser la consommation, tandis que le mode Sport permettra de disposer en permanence des 180 ch de puissance combinée. Dans tous les cas, l’Astra montre beaucoup de douceur sur la route, et affiche un bon niveau de confort malgré les grandes jantes de 18 pouces de notre exemplaire d’essai. De plus, l’insonorisation est toujours excellente, même lorsque le moteur essence intervient, toujours avec beaucoup de douceur et de discrétion. Quant à la consommation, elle dépendra bien sûr de vos habitudes d’utilisation et de votre assiduité à recharger la batterie, mais Opel annonce 1,1 l/100km en WLTP mixte, soit 26 gr CO2/km.

Budget et conclusion

De cet essai, nous retiendrons un habitacle cosy, bien construit et technologique. Mais surtout, l’agrément et la douceur de l’hybridation. Le prix définitif de l’Opel Astra Sportstourer hybride 180 ch n’a pas encore été dévoilé mais il devrait avoisiner les 37.750 €, soit 1.500 € de plus que la berline.

hybridation

Malgré la multiplication de l’offre de SUV, impossible pour Opel de ne pas proposer de déclinaison break de son Astra tant le modèle connait toujours un beau succès. D’autant que le nouveau modèle a pu être réalisé à moindres coûts : il partage la majeure partie de ses composants avec la berline, dont il est une parfaite copie jusqu’aux portières arrière. Les feux arrière sont également identiques, ce qui réduit les coûts de production. Le tout est intégré de manière élégante et dynamique, avec notamment ce becquet proéminent qui coiffe la lunette arrière.

A bord

La longueur totale atteint 4,64 m, ce qui permet de libérer un généreux coffre de 608 litres sur les versions essence et diesel, 548 sur cette version hybride où la batterie a pris place sous le plancher. En repliant les dossiers de la banquette en trois parties, on obtient 1.457 litres et 1,85 m de longueur utile derrière les sièges avant ! Pratique. Dommage en revanche que l’allongement de 5,7 cm de l’empattement ne profite pas vraiment aux jambes des occupants arrière. L’espace est correct, sans plus.

Le meuble de bord est caractérisé par son double écran Pure Panel pour l’ensemble des paramétrages, secondé de touches de raccourcis sur le tablier et le volant. Le tout, avec une qualité de fabrication soignée. Côté équipements, l’Allemande puise tout ce qu’il y a de meilleur dans la banque d’organes de sa maison-mère Stellantis pour proposer une dotation ultra-complète : aide à la conduite active, freinage d’urgence automatique, multimédia connecté avec Carplay et Android Auto sans fil, etc. Et comme toujours chez Opel, les sièges validés par l’organisme allemand de la santé du dos (AGR) assurent un maintien et un confort parfaits, et le volant chauffant est de la partie !

Sur la route

L’offre moteur se compose des blocs essence 110 et 130 ch, et diesel 130 ch. A ceux-là s’ajoutent deux motorisations hybrides rechargeables de 180 ou 225 ch. La plus modeste de ces dernières associe un moteur 1.6l essence de 150 ch à un moteur électrique de 110 ch. C’est sur celui-ci que démarre la voiture par défaut, en mode tout électrique durant une cinquantaine de kilomètres – réalistes - promis par la batterie. Le mode Hybride permet d’alterner la répartition entre les deux moteurs pour optimiser la consommation, tandis que le mode Sport permettra de disposer en permanence des 180 ch de puissance combinée. Dans tous les cas, l’Astra montre beaucoup de douceur sur la route, et affiche un bon niveau de confort malgré les grandes jantes de 18 pouces de notre exemplaire d’essai. De plus, l’insonorisation est toujours excellente, même lorsque le moteur essence intervient, toujours avec beaucoup de douceur et de discrétion. Quant à la consommation, elle dépendra bien sûr de vos habitudes d’utilisation et de votre assiduité à recharger la batterie, mais Opel annonce 1,1 l/100km en WLTP mixte, soit 26 gr CO2/km.

Budget et conclusion

De cet essai, nous retiendrons un habitacle cosy, bien construit et technologique. Mais surtout, l’agrément et la douceur de l’hybridation. Le prix définitif de l’Opel Astra Sportstourer hybride 180 ch n’a pas encore été dévoilé mais il devrait avoisiner les 37.750 €, soit 1.500 € de plus que la berline.

Opel

Malgré la multiplication de l’offre de SUV, impossible pour Opel de ne pas proposer de déclinaison break de son Astra tant le modèle connait toujours un beau succès. D’autant que le nouveau modèle a pu être réalisé à moindres coûts : il partage la majeure partie de ses composants avec la berline, dont il est une parfaite copie jusqu’aux portières arrière. Les feux arrière sont également identiques, ce qui réduit les coûts de production. Le tout est intégré de manière élégante et dynamique, avec notamment ce becquet proéminent qui coiffe la lunette arrière.

A bord

La longueur totale atteint 4,64 m, ce qui permet de libérer un généreux coffre de 608 litres sur les versions essence et diesel, 548 sur cette version hybride où la batterie a pris place sous le plancher. En repliant les dossiers de la banquette en trois parties, on obtient 1.457 litres et 1,85 m de longueur utile derrière les sièges avant ! Pratique. Dommage en revanche que l’allongement de 5,7 cm de l’empattement ne profite pas vraiment aux jambes des occupants arrière. L’espace est correct, sans plus.

Le meuble de bord est caractérisé par son double écran Pure Panel pour l’ensemble des paramétrages, secondé de touches de raccourcis sur le tablier et le volant. Le tout, avec une qualité de fabrication soignée. Côté équipements, l’Allemande puise tout ce qu’il y a de meilleur dans la banque d’organes de sa maison-mère Stellantis pour proposer une dotation ultra-complète : aide à la conduite active, freinage d’urgence automatique, multimédia connecté avec Carplay et Android Auto sans fil, etc. Et comme toujours chez Opel, les sièges validés par l’organisme allemand de la santé du dos (AGR) assurent un maintien et un confort parfaits, et le volant chauffant est de la partie !

Sur la route

L’offre moteur se compose des blocs essence 110 et 130 ch, et diesel 130 ch. A ceux-là s’ajoutent deux motorisations hybrides rechargeables de 180 ou 225 ch. La plus modeste de ces dernières associe un moteur 1.6l essence de 150 ch à un moteur électrique de 110 ch. C’est sur celui-ci que démarre la voiture par défaut, en mode tout électrique durant une cinquantaine de kilomètres – réalistes - promis par la batterie. Le mode Hybride permet d’alterner la répartition entre les deux moteurs pour optimiser la consommation, tandis que le mode Sport permettra de disposer en permanence des 180 ch de puissance combinée. Dans tous les cas, l’Astra montre beaucoup de douceur sur la route, et affiche un bon niveau de confort malgré les grandes jantes de 18 pouces de notre exemplaire d’essai. De plus, l’insonorisation est toujours excellente, même lorsque le moteur essence intervient, toujours avec beaucoup de douceur et de discrétion. Quant à la consommation, elle dépendra bien sûr de vos habitudes d’utilisation et de votre assiduité à recharger la batterie, mais Opel annonce 1,1 l/100km en WLTP mixte, soit 26 gr CO2/km.

Budget et conclusion

De cet essai, nous retiendrons un habitacle cosy, bien construit et technologique. Mais surtout, l’agrément et la douceur de l’hybridation. Le prix définitif de l’Opel Astra Sportstourer hybride 180 ch n’a pas encore été dévoilé mais il devrait avoisiner les 37.750 €, soit 1.500 € de plus que la berline.