FOOTBALLZidane confie être « bientôt » de retour sur un banc, coucou les Bleus ?

Zinédine Zidane confie être « bientôt » de retour sur un banc de touche, les Bleus plus que jamais en ligne de mire ?

FOOTBALLL’ancien entraîneur du Real Madrid a annoncé lundi soir « attendre un petit peu » son prochain poste. Dès la fin du Mondial au Qatar par exemple ?
Zinédine  Zidane a accompagné sa nouvelle statue de cire, lundi soir au musée Grévin à Paris.
Zinédine Zidane a accompagné sa nouvelle statue de cire, lundi soir au musée Grévin à Paris.  - SADAKA EDMOND/SIPA / SIPA
Jérémy Laugier

J.Lau.

Zinédine Zidane ne nous a jamais habitués à de longues tirades, c’est peu de le dire. Présent pendant quelques minutes face à la presse, lundi soir au moment d’inaugurer sa nouvelle statue de cire au musée Grévin à Paris l’ancien entraîneur du Real Madrid s’est fendu de petites formules qui ne manqueront pas d’agiter les médias français durant les prochains jours. Après plusieurs questions autour de cette statue, un journaliste a franchi le pas pour lui demander si le costume d’entraîneur manquait à Zizou.

« Non, je ne suis pas loin, je suis toujours là. On attend un petit peu », a répondu le Ballon d'or 1998. Relancé sur le timing d’un retour sur un banc de touche, Zinédine Zidane a répété dans un large sourire « bientôt, bientôt »… Sans transition aucune, les médias présents ont enchaîné sur ses attentes pour l’équipe de France, le mois prochain lors de la Coupe du monde au Qatar.


« Quand vous êtes bleu, vous êtes bleu à vie »

« Je vais les soutenir à fond, comme d’habitude, glisse alors ZZ. Quand vous êtes bleu, vous êtes bleu à vie. J’espère voir l’équipe de France aller le plus loin possible. » Avant de prendre la succession de Didier Deschamps (en fin de contrat après le Mondial) au poste de sélectionneur, comme cela semble tant écrit, non ?

« J’ai envie d’être sélectionneur des Bleus, bien sûr, déclarait Zinédine Zidane à L’Equipe le 23 juin dernier, le jour de ses 50 ans. Je le serai un jour, je l’espère. Quand ? Ça ne dépend pas de moi. Mais j’ai envie de boucler la boucle avec l’équipe de France. C’est le summum. Et donc, comme j’ai vécu ça et qu’aujourd’hui je suis entraîneur, l’équipe de France est bien ancrée dans ma tête. » Quatre mois plus tard, cette perspective prend de plus en plus forme.