placementLa sœur de la suspecte du meurtre de Lola en centre de rétention

Meurtre de Lola : La sœur de la suspecte Dahbia B. placée en centre de rétention

placementDe nationalité algérienne, elle avait été arrêtée pour absence de titre de séjour, peu de temps après sa garde à vue dans l’enquête sur le meurtre de Lola, pour lequel elle a été mise hors de cause
C'est dans son appartement situé dans le 19e arrondissement de Paris que la collégienne de 12 ans avait été tuée par sa soeur, Dahbia B.
C'est dans son appartement situé dans le 19e arrondissement de Paris que la collégienne de 12 ans avait été tuée par sa soeur, Dahbia B. - Juliette AVOT/SIPA / SIPA
20 Minutes avec AFP

20 Minutes avec AFP

La sœur de Dahbia B., soupçonnée d’avoir tué la jeune Lola en octobre à Paris, a été placée en centre de rétention administrative (CRA) en vue de son expulsion, a-t-on appris vendredi de sources proches du dossier.

Friha B. a été placée en CRA le 19 octobre, ont précisé ces sources, confirmant une information de France Info. Vendredi, un juge des libertés et de la détention a ordonné son maintien en rétention, a ajouté l’une de ces sources à l’AFP.

De nationalité algérienne, elle avait été arrêtée pour absence de titre de séjour, peu de temps après sa garde à vue dans l’enquête sur le meurtre de Lola, pour lequel elle été mise hors de cause.



C’est dans son appartement situé dans le 19e arrondissement de Paris que la collégienne de 12 ans avait été tuée par sa sœur, Dahbia B. Cette dernière a elle été mise en examen et placée en détention provisoire.

Les circonstances tragiques de la mort de la collégienne, dont le corps a été retrouvé le 14 octobre dans une malle, ont suscité une vive émotion dans le pays.

La présence en France de Dahbia B., Algérienne sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF), a suscité de virulentes critiques à droite et à l’extrême droite. Le gouvernement a fustigé « l’indécence » de cette « récupération politique » et la famille a demandé que « cesse » toute utilisation « du nom et de l’image de leur enfant à des fins politiques ».