sanctionL’influenceuse Poupette Kenza sous le coup d’une amende de 50.000 euros

L’influenceuse Poupette Kenza écope d’une amende de 50.000 euros pour « pratiques commerciales trompeuses »

sanctionLa mère de famille et influenceuse sur les réseaux sociaux a publié le courrier de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes
L’influenceuse Poupette Kenza
L’influenceuse Poupette Kenza - Capture d'écran YouTube @poupeettte / 20 Minutes
Cécile De Sèze

C.d.S

La chasse aux fraudes sur les réseaux sociaux ne prend pas de pause en août. L’influenceuse Poupette Kenza a annoncé sur son profil Snapchat avoir reçu un courrier de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF). Elle est sous le coup d’une amende de 50.000 euros pour « pratiques commerciales trompeuses » en ligne.

En cause : une publicité pour un blanchisseur de dents de la marque Crest 3D White, en omettant de préciser qu’il s’agissait d’un contenu commercial, précise le document partagé par l’influenceuse sur ses réseaux sociaux. Poupette Kenza devra également publier sur ses différents comptes le communiqué détaillant sa sanction. « J’ai envie de vomir », a réagi l’intéressée qui assure que ce courrier « a détruit [sa] soirée, c’est des gros voleurs ». « Le pire, s’étrangle-t-elle, c’est que c’est une amende, t’es obligé de la payer sinon tu vas en prison », a ajouté la mère de famille de 23 ans.

Plusieurs affaires autour de Poupette Kenza

Poupette Kenza est par ailleurs soupçonnée dans un autre dossier d’avoir fait la promotion d’une cagnotte pour des orphelins marocains, dont les fonds ont disparu. L’association en charge de l’orphelinat, Atlas Kinder, avait exprimé son souhait de porter plainte contre la jeune femme pour « abus de confiance » et « détournements de fonds », rapportait Le Parisien.

Enfin, elle est également soupçonnée de faits de maltraitances infantiles sur son fils. En février, une enquête a été ouverte pour « soupçons de soustraction par le parent d’un enfant mineur sans motif légitime à ses obligations légales compromettant sa santé, sécurité, moralité ou son éducation », à la suite d’une série de vidéos partagées sur Snapchat qui explique l’hospitalisation de son fils âgé d’à peine un an pour une blessure à la tête.