CONFLITPrès de 50 otages israéliens ont été tués depuis le 7 octobre, dit le Hamas

Guerre Hamas-Israël : « Près de 50 otages » israéliens ont été tués depuis le début des raids

CONFLITC’est du moins ce qu’affirme, ce jeudi, le Hamas dans un message diffusé sur Telegram
Des images d'otages israéliens enlevés par le Hamas la semaine dernière lors d'une attaque surprise en Israël sont placardées sur un mur lors d'un rassemblement devant le ministère de la Défense, à Tel Aviv, le 16 octobre 2023.
Des images d'otages israéliens enlevés par le Hamas la semaine dernière lors d'une attaque surprise en Israël sont placardées sur un mur lors d'un rassemblement devant le ministère de la Défense, à Tel Aviv, le 16 octobre 2023. - AHMAD GHARABLI / AFP / AFP
20 Minutes avec AFP

20 Minutes avec AFP

La branche militaire du Hamas palestinien a « estimé » jeudi que « près de cinquante » otages israéliens détenus dans la bande de Gaza avaient été tués par des frappes israéliennes depuis le début de la guerre le 7 octobre.

« Les brigades Qassam estiment que le nombre d’otages sionistes qui ont été tués dans la bande de Gaza à cause des bombardements et des massacres sionistes, a atteint près de cinquante », a indiqué le groupe islamiste palestinien dans un message sur Telegram, une affirmation qui n’a pas pu être vérifiée de source indépendante.

224 otages identifiés par Israël

Le Hamas, qui utilise le terme de « sionistes » pour désigner les Israéliens, avait fait état de 22 otages tués le 16 octobre. De son côté, le porte-parole de l’armée israélienne Daniel Hagari a légèrement revu à la hausse jeudi le nombre d’otages identifiés : « Nous avons informé les familles de 224 otages » que leurs proches étaient détenus dans la bande de Gaza (contre 222 auparavant).

« Ce chiffre a évolué en fonction des renseignements que nous obtenons. Cela va continuer d’évoluer. Les efforts engagés pour ramener les otages sont la priorité absolue », a assuré Daniel Hagari.

Selon une donnée communiquée par le gouvernement israélien, que l’AFP n’a pas pu vérifier de manière indépendante, au moins la moitié de ces otages disposent d’un passeport étranger.