Histoire des règlesPourquoi parle-t-on d’essai et de transformation au rugby ?

Coupe du monde de rugby : Pourquoi Cheslin Kolbe avait-il le droit de contrer la transformation de Thomas Ramos ?

Histoire des règlesL’histoire de l’essai et de la transformation explique pourquoi Thomas Ramos s’est fait piéger lors du quart de finale de coupe du monde entre la France et l’Afrique du Sud
L'arrière du XV de France,  Thomas Ramos, voit sa transformation bloquée par l'ailier sud-africain Cheslin Kolbe lors du quart de finale de la Coupe du monde 2023 de rugby.
L'arrière du XV de France, Thomas Ramos, voit sa transformation bloquée par l'ailier sud-africain Cheslin Kolbe lors du quart de finale de la Coupe du monde 2023 de rugby. - Miguel MEDINA / AFP
Gilles Durand

Gilles Durand

Aujourd’hui, en rugby, l’essai vaut cinq points et la transformation deux. Mais il n’en a pas toujours été ainsi. Comme les règles, le comptage des points a évolué tout au long de l’histoire du rugby. Pourquoi une telle évolution ? Et au fait, pourquoi parle-t-on d’essai et de transformation ?

Simple prolongement de l’essai

Les mots ont un sens et l’histoire des points prend racine dans l’origine de ce sport. Dans les premiers règlements du rugby, l’essai ne valait aucun point et n’était validé que par la transformation. Transformation qui était un simple prolongement de l’action. Si tout ça a changé, le principe reste le même : il faut se dépêcher de taper pour éviter de se faire contrer comme Thomas Ramos par Cheslin Kolbe lors du quart de finale entre les Français et les Boks.

20 Minutes revient sur les origines de l’essai et de la transformation avec Joris Vincent, historien du rugby à l’université de Lille. Comment est née cette idée si singulière de compter les points ?

La fin de la Coupe du monde de rugby avec la finale entre les All Blacks et les Boks et le match pour la troisième place entre les Argentins et les Anglais sont à suivre sur 20minutes.fr.

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