flammesLa salle du club de basket de Gravelines ravagée par un « violent incendie »

Basket : La salle du club de Gravelines ravagée par un « violent incendie »

flammes« Il n’y a plus de salle de basket, tout est parti en fumée », s’est ému le président du club
Illustration : Un pompier du SDIS 59
Illustration : Un pompier du SDIS 59 - Olivier Aballain / 20 Minutes / SIPA
20 Minutes avec AFP

20 Minutes avec AFP

Les images sont impressionnantes. La salle du club de basket-ball de Gravelines (Elite) est ravagée depuis ce lundi à la mi-journée par un « violent incendie », ont indiqué les pompiers du Nord, et « tout est parti en fumée », a précisé le club à l'AFP.

« Il n'y a plus de salle de basket, tout est parti en fumée », s'est ému le président du club de Gravelines, Christian Devos. « Quarante ans de vie dans Sportica sont partis en fumée », a-t-il ajouté.

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Une soixantaine de pompiers mobilisés

« Les sapeurs-pompiers sont désormais maîtres du feu", a indiqué vers 17H15 le Service départemental d'incendie et de secours (Sdis) du Nord, soulignant l' »extinction en cours des foyers résiduels ». Le feu « a débuté au niveau de la piscine, puis s'est propagé dans les locaux de la cafétéria et de la salle de basket », a indiqué la préfecture du Nord.

A 16 heures, plus de 60 pompiers étaient mobilisés pour éteindre le feu ravageant la salle de 3.000 places, qui a débuté aux alentours de 12h45, selon le Sdis (Service départemental d'incendie et de secours) du Nord. La préfecture du Nord a fait état de « deux blessés légers parmi les sapeurs-pompiers ».

« Si on avait été en période de grosse fréquentation à la piscine ou s'il y avait eu un entraînement à la salle de basket, ça aurait été catastrophique », a souligné Christian Devos. Mais « tout était fermé, en entretien. Et il n'y avait pas d'entraînement » pour l'équipe de basket au moment où le feu a débuté, a-t-il ajouté.

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Dix-septième et avant-dernier d'Elite, Gravelines aurait dû recevoir jeudi Paris, actuel deuxième. « Le match n'aura pas lieu », a regretté Christian Devos.