votre vi (t), votre avis« C’est ma drogue à moi »… Elles sont devenues « addicts » au sextoy

Dix ans du Womanizer : « C’est ma drogue à moi »… Elles sont devenues « addicts » au sextoy

votre vi (t), votre avisLe célèbre sextoy Womanizer fête ses dix ans cette année et il est temps de savoir pourquoi ce jouet et ses p’tits potes vous plaisent tant
Le Womanizer, qui fête ces dix ans cette année, a permis la démocratisation de tout un tas de jouets sexuels, notamment utilisés (voire adulé) par plus des millions de femmes (et leurs partenaires).
Le Womanizer, qui fête ces dix ans cette année, a permis la démocratisation de tout un tas de jouets sexuels, notamment utilisés (voire adulé) par plus des millions de femmes (et leurs partenaires). - Canva / Montage 20 Minutes
Marion Pignot

Marion Pignot

L'essentiel

  • Le Womanizer fête ces dix ans cette année. L’occasion de demander à nos lectrices et à nos lecteurs s’ils sont accros.
  • Si les femmes sont les seules à nous avoir répondu, toutes semblent dire que le Womanizer (ou ses petits copains) est aujourd’hui un incontournable de leurs nuits de folie.
  • Certaines se disent « addicts », l’utilisent dans les toilettes du boulot quand d’autres évoquent des orgasmes rapides et intenses désormais inatteignables dans sextoys.

Aujourd’hui votre « vit » (en rose) c’est bibi, votre plaisir, ce n’est que lui. Lui, c’est le Womanizer qui fête ces dix ans cette année. Lancé en grande pompe en 2014 par Michael et Brigitte Lenke, un couple de Bavarois, ce sextoy est devenu un incontournable de la « wish list » de Noël, notamment utilisé par plus de dix millions de femmes (et leurs partenaires), si l’on en croit Le Nouvel Obs.

Parmi elles, certaines ne cachent pas leur addiction. Des nanas qui aujourd’hui ne peuvent plus se passer de leur « aspirateur à clito ». Womanizer ou pas, le jouet siliconé « trône fièrement » sur la « table de nuit » d’Anna, quadra en couple mais dont le partenaire a « totalement intégré que le sextoy » était le troisième larron des nuits câlines. « Si je veux jouir rapidement et fort, je l’appelle à la rescousse. Mon copain le sait et si ça pouvait le vexer avant, ça ne le dérange plus. Aujourd’hui, il a compris que sans le Womanizer, c’était pour moi moins intense. »

« M’absenter aux toilettes pour me faire plaisir »

Et si la Rolls Royce du plaisir s'est frayé un chemin tranquilou dans la chambre d’Anna, il est chaque jour dans le sac à main de Jessyca. Notre lectrice qui a répondu à notre appel à témoignages est « devenue une addict au sextoy ». « C’est ma drogue à moi, le petit boost de plaisir qui fait que mes journées se passent bien », avoue-t-elle. Et pourtant, elle assure, qu’au départ, elle était de « celles qui n’auraient jamais osé en utiliser et qui imaginaient que les sextoys, c’était un truc de porno ou de fantasme masculin ».

Mais la soirée entre copines et le test « pour rigoler » ont eu raison de ses préjugés. « Ça a été une révélation. Depuis, je ne m’en passe plus et il m’arrive même de m’absenter aux toilettes du boulot pour me faire mon petit plaisir. Je ne pars pas en week-end sans, et j’en ai presque toujours un, discret, avec moi », précise notre lectrice qui nous livre l’inventaire de ses jouets « connectés et pour couple ». « Ça booste vraiment notre libido », conclut Jessyca qui raconte « pouvoir déclencher » désormais « le plaisir à distance »

« Ce truc en plus qui te fait décoller direct »

La star des sextoys a permis à tout un tas de nouveaux jouets, plus ou moins profilés, de se lancer. Des appareils souvent à destination des femmes et développés autour du désormais célèbre « aspirateur à clito ». « Une sensation inégalée, avoue Anna. Ok, la langue, ok, les doigts… mais le Womanizer a ce truc en plus qui te fait décoller direct. » Même constat de la part de notre autre lectrice, Jade : « le Womanizer ou comment avoir un orgasme en vingt secondes top chrono. »

Jade a « acheté le Womanizer à la suite à d’un reportage sur ses créateurs ». Un jouet aussitôt « testé et… approuvé ». « Il m’a permis de découvrir mon corps », poursuit notre lectrice, qui avoue que le sex-toy est « addictif ».

Quant à Charlotte, elle a opté pour un Womanizer, « un peu comme une dernière chance » d’avoir un l’orgasme. La jouissance était devenue difficile à atteindre et c’était, pour elle, « une source de stress de ne pas y arriver ». Avec son partenaire, elle décide donc « de tester un Womanizer »… et au premier date « déjà, c’était incroyable » : « un orgasme en trente secondes alors qu’il me fallait parfois cinquante minutes pour atteindre le 7e ciel. »

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Depuis que le sextoy a rejoint sa chambre à coucher, les orgasmes de Charlotte sont « même encore plus forts, plus intenses » : « il a changé nos rapports, on ne se pose plus de questions et il est toujours à proximité même si l’on part en vacances ! »

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