CONFIDENCES« Je n’ai jamais subi la moindre violence », assure la compagne de Kendji Girac

Affaire Kendji Girac : « Je n’ai jamais subi la moindre violence », clame Soraya, sa compagne

CONFIDENCESLa compagne de Kendji Girac a affirmé que ce dernier n’avait jamais exercé le moindre chantage au suicide
Kendji Girac, lors des NRJ Music Awards 2023. (Illustration)
Kendji Girac, lors des NRJ Music Awards 2023. (Illustration) - LAURENT VU/NMA2023/SIPA / SIPA
Caroline Politi

C.Po.

Deux semaines après s’être tiré une balle dans le thorax, Kendji Girac est sorti de l’hôpital mais reste en convalescence. « Ça va prendre du temps, confie sa compagne, Soraya Miranda, dans une interview au Parisien. Il est très fatigué, il se remet doucement. »

Une prise de parole rarissime visant notamment à battre en brèche les rumeurs entourant le chanteur et son couple. A commencer par le fait qu’elle est rentrée chez elle, en Suisse, juste après avoir été entendue par les gendarmes. « Sa convalescence va prendre du temps, et je vais rester à ses côtés avec notre fille », insiste-t-elle.

« Cela n’a jamais existé »

La jeune femme, en couple depuis une dizaine d’années avec le chanteur à succès, a également assuré que ce dernier n’avait jamais exercé la moindre violence à son égard, qu’elle soit physique ou psychologique. Pour justifier son geste, Kendji Girac avait assuré qu’il souhaitait « faire peur » à sa compagne pour éviter que celle-ci ne le quitte après une énième dispute au sujet de ses addictions, avait indiqué, lors d’une longue conférence de presse, le procureur de Mont-de-Marsan.

« Kendji ne m’a jamais fait de chantage au suicide, que les choses soient claires. Cela n’a jamais existé. Je n’ai jamais subi la moindre violence quelle qu’elle soit de sa part », a-t-elle insisté, affirmant qu’il était « incapable de faire du mal à qui que ce soit ». Lors de sa conférence de presse, le magistrat avait pourtant précisé que ce n’était pas la première fois que le chanteur menaçait de se faire du mal.

Si elle confirme que Kendji Girac se trouvait « dans une mauvaise passe » au moment du drame – le procureur a évoqué une consommation importante d’alcool et de drogue – elle se montre confiante sur sa capacité à la dépasser. « Il est choqué de s’être infligé autant de mal à lui-même », assure-t-elle.

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