Merci à toutes et à tous de nous avoir suivis.

Outre l’Union européenne, la Chine reste toujours dans le collimateur de Donald Trump. Il a annoncé l’application probable, dès le 1er février, de droits de douane de 10 % sur les produits chinois, évoquant notamment la lutte contre l’envoi de fentanyl, un opiacé qui serait, selon lui, distribué depuis la Chine vers le Mexique et le Canada avant d’atteindre les Etats-Unis.

Les pays européens vont être soumis à des droits de douane, « seul moyen » pour les Etats-Unis « d’être traités correctement », a estimé Donald Trump, dénonçant, lors de la conférence de presse à la Maison-Blanche, le déficit commercial américain vis-à-vis de l’Union européenne (UE).

« L’UE est très mauvaise pour nous. Ils nous traitent très mal. Ils ne prennent pas nos voitures ou nos produits agricoles. En fait ils ne prennent pas grand-chose », a-t-il affirmé, ajoutant « donc ils sont bons pour des droits de douane ».

Donald Trump a déclaré qu’il pourrait donc envisager des sanctions supplémentaires contre la Russie si Vladimir Poutine refuse de négocier pour mettre fin à la guerre en Ukraine. Il prévoit de discuter avec les présidents Zelensky et Poutine prochainement.

Volodymyr Zelensky aimerait avoir la paix, « mais il faut être deux pour danser le tango. Nous verrons ce qui se passe », a indiqué Donald Trump. Il a également critiqué l’Union européenne pour son manque de soutien à l’Ukraine.

Par ailleurs, Donald Trump examine également la possibilité d’envoyer davantage d’armes à l’Ukraine, tout en soulignant que l’administration Biden a déjà fourni des fonds et des armes avant son départ. Lors d’un appel récent avec Xi Jinping, Donald Trump a expliqué avoir encouragé le président chinois à utiliser son influence pour contribuer à une résolution du conflit.

Lors de son intervention à la Maison-Blanche, Donald Trump a jugé « probables » de nouvelles sanctions à l’encontre de la Russie si Moscou ne négocie pas la fin de la guerre contre l’Ukraine.

« Cela semble probable », a déclaré le président américain interrogé à ce propos lors d’une conférence de presse, en réitérant que « la guerre n’aurait jamais eu lieu si j’avais été président » à l’époque.

Donald Trump a affirmé mardi qu’il soutiendrait un éventuel rachat de TikTok par Elon Musk, si le patron de X, SpaceX et Tesla décidait d’acquérir le réseau social de l’entreprise chinoise ByteDance.

Le président américain, qui a signé lundi un décret suspendant l’application de la loi d’interdiction pour une durée de 75 jours, a également suggéré depuis la Maison-Blanche que l’entité reprenant TikTok devrait « donner la moitié aux Etats-Unis » en échange d’une « licence ».

Donald Trump a dévoilé, mardi depuis la Maison-Blanche, un ambitieux projet d’intelligence artificielle, baptisé « Stargate », impliquant des investissements massifs de « plus de 500 milliards de dollars » aux Etats-Unis. Lors de cette annonce, le président était entouré de figures influentes du secteur technologique, notamment Larry Ellison, PDG d’Oracle, Sam Altman, PDG d’OpenAI (ChatGPT) et Masayoshi Son, président de la holding japonaise SoftBank.

Cette initiative prévoit la création d’une nouvelle entreprise américaine dédiée à l’IA, avec pour objectif d’investir massivement dans les infrastructures technologiques aux Etats-Unis. Selon le président, ce projet « avancera très rapidement » et générera « plus de 100.000 emplois pour les Américains ».

Donald Trump a mis fin à la protection par les services secrets de son ancien conseiller à la sécurité nationale, John Bolton, invoquant une décision prise peu après son investiture. Cette mesure intervient malgré les menaces iraniennes qui justifiaient initialement cette sécurité.

Le président Donald Trump accordera sa première interview télévisée dans le Bureau ovale depuis son retour à la Maison-Blanche mercredi, lorsqu’il parlera à Sean Hannity de Fox News, a indiqué un responsable de la Maison-Blanche à CNN.

Donald Trump a annulé un décret de Joe Biden sur la sécurité de l’intelligence artificielle (IA), visant à limiter la régulation fédérale. Le décret de 2023 imposait aux entreprises de fournir des données sur les risques de leurs modèles d’IA et confiait au NIST la tâche de définir des standards.

L’administration Trump adopte une approche moins interventionniste, favorisant la liberté des entreprises privées. Si certains y voient une simplification nécessaire, d’autres s’inquiètent des potentielles dérives liées à l’IA, notamment les biais discriminants ou les risques sécuritaires.

Lors d’un service religieux interconfessionnel à l’occasion de son investiture, Donald Trump a été interpellé par l’évêque Mariann Edgar Budde, qui lui a demandé de faire preuve de « miséricorde » envers les immigrants et les membres de la communauté LGBTQ, évoquant leur peur et leurs contributions à la société. L’évêque a également mentionné des travailleurs immigrés et des enfants LGBTQ, appelant Donald Trump à se souvenir de l’amour de Dieu et à agir avec compassion.

En réponse à cette demande, Donald Trump a vivement critiqué le service. « Je ne pensais pas que c’était un bon service, non. Ils pourraient faire bien mieux », a-t-il dit et d’ajouter « pas très excitant, n’est-ce pas ? »

L’amirale Linda Fagan, première femme à diriger les Gardes-côtes américains depuis juin 2022, a été limogée par l’administration Trump. Benjamine Huffman, secrétaire par intérim du ministère de la Sécurité intérieure (DHS), a remercié Linda Fagan pour sa carrière mais a évoqué des « lacunes de commandement » et des « échecs opérationnels » pour justifier son départ.

Un haut responsable anonyme a également critiqué sa gestion des menaces à la sécurité des frontières, son focus sur la diversité et l’inclusion, et sa gestion d’une enquête sur des accusations d’agression sexuelle. Pete Hegseth, nouveau chef du ministère de la Défense, a annoncé que les officiers seraient évalués strictement au mérite, signalant d’autres possibles changements.

Jacob Chansley, connu sous le nom de « QAnon Shaman » et ayant participé à l’insurrection du 6 janvier au Capitole, a exprimé sur les réseaux sociaux sa joie de pouvoir à nouveau acheter des armes, après avoir été gracié par Donald Trump.

Jacob Chansley, condamné en 2021 pour obstruction criminelle à plus de trois ans de prison et libéré en 2023, fait partie des émeutiers graciés par le nouveau président. « Maintenant, je vais m’acheter des pu**in d’armes !!! », a-t-il écrit sur X.

Selon CNN, un groupe de procureurs généraux démocrates, issus de 18 Etats, a intenté un procès contre Donald Trump pour contester un décret visant à mettre fin au droit du sol. Selon eux, cette mesure viole le Quatorzième Amendement de la Constitution, qui garantit la citoyenneté à tous les enfants nés aux Etats-Unis.

« Malgré les vastes pouvoirs d’un président pour définir la politique en matière d'immigration, l’ordre de déchéance de la citoyenneté dépasse largement les limites légales de l’autorité présidentielle », est-il écrit dans le procès-verbal.

La Russie critique la réinscription par Donald Trump de Cuba sur la liste des Etats soutenant le terrorisme. Selon la porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Maria Zakharova, elle vise sans aucun doute « à renforcer davantage les restrictions financières et économiques ». Ceci « dans l’espoir de déstabiliser la situation et de changer le pouvoir à Cuba ».

Au parlement européen, l’élection de Donald Trump et sa vague de décrets signés dès son investiture suscitent de fortes réactions. Parmi elles, celle de l’eurodéputée française Manon Aubry (LFI). « L’Union européenne est en train de devenir le paillasson des Etats-Unis, de Donald Trump et d’Elon Musk », estime-t-elle. « Elle est face à son destin : est-ce qu’elle est capable de créer les conditions de son indépendance ou est ce qu’elle va rester dans cette attitude complètement irresponsable ? »

Selon la porte-parole de la Maison-Blanche, Karoline Leavitt, une annonce majeure va être faite dans les prochaines heures par Donald Trump au sujet des infrastructures du pays. Elle est attendue pour 16 heures locales (22 heures en France).

La Bourse de New York a ouvert en ordre dispersé mardi, les investisseurs digérant les nombreux décrets signés aux Etats-Unis par Donald Trump la veille à la suite de son investiture. Dans leur viseur, ils gardent une attention particulière sur les droits de douane.

Vers 15h20 GMT, le Dow Jones gagnait 0,63 %. L’indice Nasdaq restait proche de l’équilibre à + 0,01 %.

Outre l’Union européenne, la Chine reste toujours dans le collimateur de Donald Trump. Il a annoncé l’application probable, dès le 1er février, de droits de douane de 10 % sur les produits chinois, évoquant notamment la lutte contre l’envoi de fentanyl, un opiacé qui serait, selon lui, distribué depuis la Chine vers le Mexique et le Canada avant d’atteindre les Etats-Unis.

Les pays européens vont être soumis à des droits de douane, « seul moyen » pour les Etats-Unis « d’être traités correctement », a estimé Donald Trump, dénonçant, lors de la conférence de presse à la Maison-Blanche, le déficit commercial américain vis-à-vis de l’Union européenne (UE).

« L’UE est très mauvaise pour nous. Ils nous traitent très mal. Ils ne prennent pas nos voitures ou nos produits agricoles. En fait ils ne prennent pas grand-chose », a-t-il affirmé, ajoutant « donc ils sont bons pour des droits de douane ».

Donald Trump a déclaré qu’il pourrait donc envisager des sanctions supplémentaires contre la Russie si Vladimir Poutine refuse de négocier pour mettre fin à la guerre en Ukraine. Il prévoit de discuter avec les présidents Zelensky et Poutine prochainement.

Volodymyr Zelensky aimerait avoir la paix, « mais il faut être deux pour danser le tango. Nous verrons ce qui se passe », a indiqué Donald Trump. Il a également critiqué l’Union européenne pour son manque de soutien à l’Ukraine.

Par ailleurs, Donald Trump examine également la possibilité d’envoyer davantage d’armes à l’Ukraine, tout en soulignant que l’administration Biden a déjà fourni des fonds et des armes avant son départ. Lors d’un appel récent avec Xi Jinping, Donald Trump a expliqué avoir encouragé le président chinois à utiliser son influence pour contribuer à une résolution du conflit.

Lors de son intervention à la Maison-Blanche, Donald Trump a jugé « probables » de nouvelles sanctions à l’encontre de la Russie si Moscou ne négocie pas la fin de la guerre contre l’Ukraine.

« Cela semble probable », a déclaré le président américain interrogé à ce propos lors d’une conférence de presse, en réitérant que « la guerre n’aurait jamais eu lieu si j’avais été président » à l’époque.

Donald Trump a affirmé mardi qu’il soutiendrait un éventuel rachat de TikTok par Elon Musk, si le patron de X, SpaceX et Tesla décidait d’acquérir le réseau social de l’entreprise chinoise ByteDance.

Le président américain, qui a signé lundi un décret suspendant l’application de la loi d’interdiction pour une durée de 75 jours, a également suggéré depuis la Maison-Blanche que l’entité reprenant TikTok devrait « donner la moitié aux Etats-Unis » en échange d’une « licence ».

Donald Trump a dévoilé, mardi depuis la Maison-Blanche, un ambitieux projet d’intelligence artificielle, baptisé « Stargate », impliquant des investissements massifs de « plus de 500 milliards de dollars » aux Etats-Unis. Lors de cette annonce, le président était entouré de figures influentes du secteur technologique, notamment Larry Ellison, PDG d’Oracle, Sam Altman, PDG d’OpenAI (ChatGPT) et Masayoshi Son, président de la holding japonaise SoftBank.

Cette initiative prévoit la création d’une nouvelle entreprise américaine dédiée à l’IA, avec pour objectif d’investir massivement dans les infrastructures technologiques aux Etats-Unis. Selon le président, ce projet « avancera très rapidement » et générera « plus de 100.000 emplois pour les Américains ».

Le président Donald Trump accordera sa première interview télévisée dans le Bureau ovale depuis son retour à la Maison-Blanche mercredi, lorsqu’il parlera à Sean Hannity de Fox News, a indiqué un responsable de la Maison-Blanche à CNN.

L’amirale Linda Fagan, première femme à diriger les Gardes-côtes américains depuis juin 2022, a été limogée par l’administration Trump. Benjamine Huffman, secrétaire par intérim du ministère de la Sécurité intérieure (DHS), a remercié Linda Fagan pour sa carrière mais a évoqué des « lacunes de commandement » et des « échecs opérationnels » pour justifier son départ.

Un haut responsable anonyme a également critiqué sa gestion des menaces à la sécurité des frontières, son focus sur la diversité et l’inclusion, et sa gestion d’une enquête sur des accusations d’agression sexuelle. Pete Hegseth, nouveau chef du ministère de la Défense, a annoncé que les officiers seraient évalués strictement au mérite, signalant d’autres possibles changements.

Jacob Chansley, connu sous le nom de « QAnon Shaman » et ayant participé à l’insurrection du 6 janvier au Capitole, a exprimé sur les réseaux sociaux sa joie de pouvoir à nouveau acheter des armes, après avoir été gracié par Donald Trump.

Jacob Chansley, condamné en 2021 pour obstruction criminelle à plus de trois ans de prison et libéré en 2023, fait partie des émeutiers graciés par le nouveau président. « Maintenant, je vais m’acheter des pu**in d’armes !!! », a-t-il écrit sur X.

Selon CNN, un groupe de procureurs généraux démocrates, issus de 18 Etats, a intenté un procès contre Donald Trump pour contester un décret visant à mettre fin au droit du sol. Selon eux, cette mesure viole le Quatorzième Amendement de la Constitution, qui garantit la citoyenneté à tous les enfants nés aux Etats-Unis.

« Malgré les vastes pouvoirs d’un président pour définir la politique en matière d'immigration, l’ordre de déchéance de la citoyenneté dépasse largement les limites légales de l’autorité présidentielle », est-il écrit dans le procès-verbal.

Au parlement européen, l’élection de Donald Trump et sa vague de décrets signés dès son investiture suscitent de fortes réactions. Parmi elles, celle de l’eurodéputée française Manon Aubry (LFI). « L’Union européenne est en train de devenir le paillasson des Etats-Unis, de Donald Trump et d’Elon Musk », estime-t-elle. « Elle est face à son destin : est-ce qu’elle est capable de créer les conditions de son indépendance ou est ce qu’elle va rester dans cette attitude complètement irresponsable ? »

La Bourse de New York a ouvert en ordre dispersé mardi, les investisseurs digérant les nombreux décrets signés aux Etats-Unis par Donald Trump la veille à la suite de son investiture. Dans leur viseur, ils gardent une attention particulière sur les droits de douane.

Vers 15h20 GMT, le Dow Jones gagnait 0,63 %. L’indice Nasdaq restait proche de l’équilibre à + 0,01 %.

«Nous sommes Groenlandais, nous ne voulons pas être Américains », a affirmé mardi le Premier ministre du Groenland. Cette déclaration intervient au lendemain de l’investiture de Donald Trump, qui convoite l’immense territoire autonome danois.

« L’avenir du Groenland doit être décidé au Groenland », a expliqué une nouvelle fois, lors d’une conférence de presse Mute Egede. Il a également reconnu que la situation était « difficile ».

La présidente du Mexique, a lancé un appel à garder « la tête froide » face aux premières décisions de Donald Trump. « Il est important de nous en tenir aux décrets signés, par-delà le discours », a déclaré Claudia Sheinbaum. Elle estime que les premières mesures migratoires de Trump sont semblables à celles de son premier mandat.

Sitôt investi, le nouveau président des Etats-Unis a signé décret déclarant l’état d’urgence à la frontière avec le Mexique. Il a annoncé l’envoi « de troupes à la frontière sud pour repousser l’invasion désastreuse de notre pays ».

Parmi les nombreux décrets signés dès son investiture, Donald Trump a mis un terme au télétravail des fonctionnaires américains. Le texte « impose aux fonctionnaires fédéraux de revenir travailler au bureau à plein temps avec effet immédiat ».

Il a mis en pratique les conseils d’Elon Musk, qui a lui-même interdit le télétravail dans ses entreprises. « Le télétravail n’est plus admissible », explique le milliardaire. Trump lui a confié la responsabilité du nouveau département de l’efficacité gouvernementale.

Le chancelier allemand Olaf Scholz a prévenu l’homme d’affaires Elon Musk que « soutenir des positions d’extrême droite » était inacceptable. Le patron de SpaceX, X et Tesla, a régulièrement appelé à voter pour l’extrême droite allemande ces dernières semaines.

« Nous avons la liberté d’expression en Europe et en Allemagne, chacun peut dire ce qu’il veut, même s’il est milliardaire. Ce que nous n’acceptons pas, c’est le soutien à des positions d’extrême droite », a évoqué le dirigeant à Davos.

Les sondages placent l’AFD à la seconde place aux élections législatives du 23 février en Allemagne, avec au moins 20 % des suffrages.

Au Forum économique de Davos, le président ukrainien Volodymyr Zelensky exhorte l’Europe à faire preuve de solidarité. « Nous avons besoin d’une politique européenne de sécurité et de défense unie », explique-t-il. Visiblement inquiet sur la position de Donald Trump dans ce conflit, il estime que « l’Europe doit savoir se défendre seule ».

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s’interroge ouvertement sur les volontés de Donald Trump. Qu’il s’agisse de son soutien à l’Otan, qu’il a critiquée à multiples reprises, ou de la sécurité du continent européen. « Le président Trump fera-t-il attention à l’Europe ? Considère-t-il l’Otan comme nécessaire ? Et respectera-t-il les institutions européennes ? », a-t-il évoqué lors d’un discours au forum économique de Davos. Tout en prenant garde de qualifier les Etats-Unis d'« allié indispensable ».